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Alonso Cimarro
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MessageSujet: Alonso Cimarro Alonso Cimarro Icon_minitime1Sam 6 Juil - 13:31


ALONSO CIMARRO

« Les lois se taisent parmi les armes »
▬ Cicéron



identité

NOM : Cimarro
PRÉNOM(S) : Alonso
DATE DE NAISSANCE : 24 Novembre
À : Cuba
ÂGE : 32 ans
NATIONALITÉ : Cubaine
MÉTIER : Criminel
SIGNE PARTICULIER : Pro du free fight, clandestin

► Scénario Jason Lecter
► Célébrité choisie : Jason Momoa
► Groupe : Citoyens

Crédits : © Jason (icons) || © Jason (avatar)



HISTOIRE

« ll y a deux histoires : l'histoire officielle, menteuse, puis l'histoire secrète,
où sont les véritables causes des événements. »

— Balzac.


C’est à Cuba qu’Alonso a vu le jour, où la nuit dans son cas. Née à la lumière des lampes à huile dans une baraque tenant d’avantage du taudis que de l’habitation le petit garçon allait être l’aîné d’une fratrie de cinq gosses auxquels il serait difficile voir impossible d’offrir une vie ordinaire. Le quartier de son enfance était d’une pauvreté frisant l’insalubre. En cas d’ouragan aucune maison n’aurait survécu et ce n’est pas ici qu’on entretenait l’intelligence. Jeune, trop jeune on envoyait aux champs de céréales et on récupérait dans les décharges alentours ce qui pouvait avoir une utilité quelconque. Heureux d’un ballon rapiécé et d’un t-shirt tâché quand on a à peine de quoi manger on apprenait à souffrir en silence, à ne jamais se plaindre tout en cultivant le respect et les valeurs familiales. Alonso se souvient ses parents avec fierté, des gens forts humbles mais souriants lorsque le soleil se levait, qu’une nouvelle journée pouvait être abordée. Il fut un gamin vivant et fort, plus grand que les autres et toujours là en cas de conflits. En parallèle, Alonso développa toutefois une rancune tenace pour les gouvernements du monde. Ces gens bien à l’abri dans leur bureau, prenant leur repas entre la porcelaine de chine et l’acajou d’une table vernie, aveugle aux populations en crise.

La troisième guerre éclate, mais ce ne sont pas les bidonvilles qui en seront les plus touchés. On perdra le peu d’électricité présente mais après ? Quelques radios au pire, alors eux continuent à vivre sans trop s’inquiéter. Cela étant, cette guerre occasionnera en Amérique du Sud bon nombre de rixes et conflits, plus particulièrement dans les bas fonds, là où n’importe quoi pouvait devenir un luxe. On s’affronte à la machette, on fait fuser les balles et la nuit à Cuba, les chats ne furent pas tous gris. Les dents les plus longues arrachaient la peau des hommes et des femmes par appât du gain même le plus modeste, on aurait tranché une main pour voler un morceau de pain aussi pourrit était-il et Alonso grandit, devenu adolescent rebelle et vindicatif contre cette puissance des états unis d’Amérique qui n’accorde aucune aide, aucun regard à sa voisine du Sud car trop occupée à faire croire à qui veut l’entendre que sous ce nouveau pingouin endimanché de Gordon, tout ira bien.

La famille peine à vivre, les pillages se multipliant n’aidant pas à se procurer assez de vivres et on évite de quitter sa zone de peur de se retrouver face aux gangs armés jusqu’aux dents. Alonso prend une décision, la première personnellement. Il ne laisse pas le choix … Il prendra le « Train de la mort ».
Parce qu’il assure des livraisons de ciment et de pétrole, il fut un des premiers à retrouver les rails quand l’électricité revint avec un semblant de stabilité et avec lui, les clandestins d’Amérique latine fuyant vers un  destin plus cordial, vers des horizons qu’on osait prétendre plus beaux. Foutaises … conneries à la pelle.
Le jeune homme parti alors ne croit pas à ça, lorsqu’il embarque clandestinement sur la « bête de fer » c’est le cœur lourd de rage. En chemin, il assistera à des viols, des vols, des meurtres ; on vit en sursit au fil des rails et c’est au chacun pour sois. La seule personne qu’il aidera, une gamine de douze ans dont la mère a tout bonnement été jetée en route parce qu’elle refusait de céder sa bouteille d’eau. Il est bien plus massif que d’autres, il n’inspire pas confiance mais il aura à se battre aussi. Et c’est d’une seule torsion qu’il brise la une nuque, sans remords et jetant un froid polaire malgré les quarante degrés ambiants. Dés lors, il achève son voyage sans encombre et quand il demande à un groupe de lui donner une couverture pour la petite, ils s’exécutent sans broncher. Son nom se murmure dans la carcasse ballottée et il n’en sera pas à son dernier voyage.
 
De ville en ville, il mettra les pieds à New York en ayant laissé la gosse entre les mains d’une tante déjà installée. Ce qu’il y découvre le dégoûte un peu plus, lui retourne l’estomac. Le décalage avec les quartiers pauvres de Cuba est impensable, ce n’est plus un fossé c’est un gouffre. Et à entendre les gens se plaindre parce qu’ils ont manqué les soldes le fait enrager plus encore. Il n’a plus un sous, rien sur lui hormis deux poings serrés à mort, des os craquants, tremblants de haine et un feu dévastateur dans le regard.
Rue sordide, on l’aborde en groupe alors qu’il s’est allongé sur un banc pour dormir. Bien mal leur en prend, le jeune cubain écume de colère et ils prendront pour les autres. Et là un gros homme apparaît. Ventru, cigare à la bouche, le mafieux dans toute sa classe puante. Il propose un job pouvant rapporter gros, il promet la fortune, Alonso accepte mais pas sans l’avoir prévenu qu’à la moindre entourloupe, il lui brisera le cou.    
Ainsi commença la carrière du Cubain, au son des clameurs de ce public avide de sang, à la force des combats menés, à la sensation de puissance découverte à frapper, dominer, massacrer. Il débarque, s’illustre, s’impose et se forge dans la masse tant il enchaîne les rings, les adversaires. Increvable le dit-on, fou furieux c’est sur les autres qu’il déverse toute sa rage et sur leurs corps disloqués qu’il récolte sa paye.
C’est rapide, c’est incontestable et il fera trois fois la route, toujours de manière clandestine pour aller arracher sa famille des bidonvilles. Il leur trouvera une petite maison, rien de merveilleux mais c’est déjà mieux que ce qu’ils avaient. Il leur offre un nouveau confort, au petit à petit et parvient à donner à ses frères et sœurs une éducation scolaire en les rapprochant assez des villes avant de repartir à la guerre des rues. C’est sans fin et son existence, Alonso la sacrifie pour eux.  

Mais si on ose lui murmurer qu’il vit un rêve, Alonso sait qu’il n’en est rien. Il démoli, il récolte le fric, le dépense dans les bars et les clubs de strip-tease, un verre à une main et dans l’autre un cigare comme un barreau de chaise. Le Gros à ses côtés s’enrichit sur son dos, il l’exploite sans vergogne et la compensation n’a rien d’honnête. L’homme qui s’engraisse un peu plus chaque jours ne se brise pas les poings, il ne saigne pas, il vit, il profite ; parfaite représentation de ce putain de gouvernement qui les saigne tous à blanc. C’en est trop … Alonso rogne, Alonso sombre en lui même, Alonso devient une bête et il ne mord plus, il tue.

Jusqu’à ce jour … ce putain de jour.
Les combats clandestins devenaient trop difficiles à mener quand Gordon fit resserrer la bride. Les flics de partout, les descentes à tout va, il ne restait plus que le Sud. Quartier bouffé des pires vices humains et incontrôlable. Les flics n’y entraient plus ou à peine aux frontières, mais c’était encore ça le mieux selon les dires de la press. La racailles, les malfrats demeurant emmurés dans cette zone, on limitait la casse et le gros richard continua son affaire sans peine. Alonso fit de même et plus question de retenir la mise à mort, elle devint routinière et les paris sur lui atteignaient des sommes astronomiques dans ce milieu.
Un soir, une heure et tout bascula. Le sauvage Alonso avait encore gagné ses combats, jamais épuisé mais les nerfs à vifs. Il enchaînait les verres, s’alcoolisait jusqu’à ne plus sentir son propre poids mais avec sa carcasse et les années à se prêter à l’exercice cela devenait bien ardu. Il refusait la compagnie, comme scotché au bar à interpeller le serveur toutes les dix minutes. Plein été, une chaleur de bête et lui cuisait surtout de l’intérieur. On avait saisit, on approchait pas la bête. Sauf lui …

A la droite d’Alonso s’est posé ce type en costume violet, cheveux vert criard et maquillage grotesque. Les manches poisseuses de sang à peine coagulé, il riait, léger comme la poussière, imperturbable dans son délire. Le clandestin lui a jeté un œil noir, enfin. Derrière le type un autre, yeux pâles comme l’hiver et droit comme un I, hache pendue à la main et seulement là il remarqua que seule la musique bourdonnait encore.
« On se casse Alonso. » Appela le gros, la voix chevrotante. Mais la bête sauvage ne bougea pas, elle montra les dents à deux autres monstres, l’espèce se reconnaît, elle s’appréhende et se jauge. Le Gros recula prestement quand Alonso se leva, toisé par le clown et son sourire à rallonge.

« Ferme ta gueule bouffon, tu me casses les oreilles ! » Grinça-t-il en espagnol, bouffé par l’envie de briser cette nuque là plutôt que toute autre ce soir. Mais l’autre rit, l’autre rétorqua dans le même langage et sa voix siffla : « Tu tombes bien toi, j’ai besoin d’un Cerbère ! ».
Il ne voulait pas ! Il ne voulait plus être un pion. Explosant de rage il balança son poing mais à sa plus grande surprise jamais il n’atteignit sa cible. Le Clown a filé sous ses mains, véritable anguille et quand Alonso revint lui faire face, c’est l’index et le pouce du type, mimant un revolver qui se posèrent sur son front. « BANG ! Te voilà mort ! » Lança l’autre, joueur. « Jason Lecter, ravi de faire ta … connaissance. »

Lecter. La pire ordure du Sud. Pire ? En quoi ? Parce que les journaux le disent ? La bonne blague. À la seconde où il prend conscience de l’identité du type Alonso plaque tout, les combats et le Gros richard. Le soir même, c’est à la suite de Lecter qu’il quitte le bar et dés le lendemain celui-ci annonce qu’il fait parti du « trio gagnant ». Jason en tête, un certain Alastor en second et lui enfin. Peu à peu, tenant compte de cette position Alonso devient « Le Cubain » et parce qu’on le connaît déjà dans les bas fonds, le savoir avec Lecter le rend aussitôt terrifiant. Car contrairement au Gros, Jason ne le tient pas. Il dit faire confiance, et que s’il travaille bien pour lui il verra plus d’argent qu’il n’en a jamais eu.
Et le Diable tient parole. En un an à peine le Cubain fera déménager sa famille, l’installe en pleine capitale et fait entrer les jeunes en écoles privées. Ses parents ont un petit travail à mi temps, ils ne craignent plus rien et rien que pour ça, Lecter s’est assuré d’Alonso une fidélité sans barrières.

Huit ans que le Cubain sert son boss et s’il ne s’est pas noué de grande amitié entre eux ils se respectent au moins. Quelques coups de gueules, des plaisanteries vaseuses à laisser de côté, un rythme de vie décousu et complètement anarchique mais ça paie. L’organisation s’est faite une place, le Sud a son Tyran et si le quartier reste le moins sécurisé de New York, il a ses codes. Alonso ne dira pas que sa vie est un fleuve tranquille et il y a bien longtemps qu’il n’a plus remis les pieds à Cuba tant il a à faire. Sa « famille » à New York se compose d’un Clown et d’un Croque mitaine qui lui sont antipathiques mais qu’il n’abandonnerait jamais même s’il ne leur manifeste aucune grande attention. Il n’a pas à les aimer et ce n’est pas Lecter ou Boogie, antisociaux en puissance qui iront s’en plaindre. Jason taquine, il discute, il exige et entraîne dans sa ronde mais aux yeux du Cubain le Clown est réel. Plus que ce gouvernement, plus que ces gens drapés dans leur fausse honnêteté, cet homme fardé et qu’on appelle volontiers Monstre est peut-être le libérateur qu’il faudra à New York pour enfin arracher ce tissu de mensonges qu’à déroulé l’état. Certes, Alonso n’est pas pour la guerre, pas forcément pour le Chaos mais en revanche, il attend la même justice pour tous. Et si le Chaos seul peut la rendre dans son impartialité la plus pure alors … que Lecter fasse, il suivra.                

Avant de monter dans le train … les gens incertains de leur sort disent : « Si Dios quiere… »*
Le monstre de fer est loin aujourd’hui et quelques fois en cas de doute Alonso sourit et se murmure à lui même, dans une certitude pour sa part que tout changera bel et bien un jour : « Si el Payaso quiere… »**

*( Si Dieu le veut)  **(Si le clown le veut)



CARACTÈRE

« Un homme de caractère n'a pas bon caractère. »
— Jules Renard.


Oeuvrer dans le sillage de Jason Lecter n’est pas un signe caractéristique de psychologie dérangée, Alonso en est la preuve vivante. S’il occupe depuis bientôt dix ans le troisième rang de cette organisation criminelle ce n’est en aucun cas par inclinaison à faire régner le chaos ou pousser à la révolution. Loin de partager la vision explosive de son patron le Cubain est un homme de main fidèle qui fait son travail en temps et en heure mais qui jamais ô grand jamais, ne tuera gratuitement et moins encore par plaisir. S’il balance à la benne les cadavres semés par les deux premiers monstres de cette clique ce n’est pas pour autant qu’il se plie lui même à l’exercice de « petits meurtres entre amis » car lui n’en est pas au point de haïr le monde ou ses habitants.

D’un abord froid et peu engageant Alonso a pourtant la langue bien pendue lorsqu’il s’agit d’en venir aux explications. Jamais à ravaler ses mots, il répète et martèle quitte à déranger profondément et il ne se prive pour personne. Il avouera qu’il n’a pas la moitié de l’intelligence diabolique de son boss mais ce n’est pas pour autant qu’il est stupide. Parce qu’il a été entouré d’une famille et qu’il en connaît la valeur le Cubain a encore des notions d’humanité, de l’honneur et il ne renie aucun sentiment. Si l’envie lui prend de hurler ou de taper du poing sur la table, de s’indigner, de râler ou de se vexer il le fera et ce n’est pas sa nature un rien impulsive qui le musellera. Ainsi, contrairement à d’autres au sein du groupe Alonso est homme avec lequel il reste possible de discuter, de sortir prendre un verre et qui demeure assez libre pour avoir un droit de parole. Pas mal de types lui doivent la vie, alors que Lecter menaçait de les détruire pour trois fois rien. Pas qu’Alonso soit un saint, il n’en a pas grand chose à faire des autres et applique le « chacun sa merde » sans remords. Ce qui n’empêche pas qu’il n’aime pas le gâchis, qu’il a une logique aussi. Alors des trois, c’est encore le plus apprécié, craint oui mais on ose lui parler et la gérance du « dortoir » lui revient.

Rares sont les fois où Alonso participe à l’élaboration des plans à moins que celui-ci requière son avis ou sa présence et Jason ne lui demandera pas d’être présent devant les cartes. Il se sait utile comme les autres, loin de se voiler la face mais dans le même temps Alonso sait aussi que son patron lui fait confiance. A aucune occasion le balafré na eu à se plaindre du Cubain, fait appuyant qu’il n’est pas là de s’en débarrasser.  

Parce qu’il a du se battre pour gagner sa vie et sortir du trou il connaît la valeur du travail, celle de l’effort. De même, s’il a cette nonchalance et cette allure d’ours grognon Alonso reste fréquentable. Il respecte les inconnus, apprécie un minimum ce qui l’entoure et prend encore le temps de s’attarder pour regarder un groupe de gosses jouant au foot sur un terrain. Aîné de fratrie le Cubain ne déteste pas les jeunes loin de là, il leur dispense même des conseils, les aide quand l’envie lui prend mais il ne supporte ni la lâches ni des éplorés sur leur sort. En cela, il fonctionne comme son boss et le Croque mitaine. Les larmes, c’est bon pour les autres. Pas par folie qu’il en est là, il a seulement apprit à vivre en criant, en se rebellant et en relevant la tête ; avançant même amoché. C’est une force de la nature, capable de vous briser le cou sans annonce si vous lui tournez le dos mais là encore … il en faut beaucoup à Alonso pour prendre une vie sans en avoir reçu l’ordre. Impulsif oui, mais il faut avoir sacrement attaqué ses principes pour qu’il en viennent aux mains. Un regard noir et un mot suffisent en général à calmer les plus grandes gueules parce que ça, c’est un avertissement. L’homme laisse une chance, deux peut-être mais il n’en tolérera pas d’avantage et là, vous vous retrouverez mort sans même l’avoir vu venir. Il n'a dés lors plus aucune considération pour ses ennemis et se veut dans ces moments méprisant, acerbe, cruel même. Cependant, sa justice restera la même : Expéditive. Alonso n'est pas un serpent attendant sa proie dans l'ombre. Lui chasse en pleine lumière, sans demie mesure ; Molosse infernal refermant les mâchoires d'un coup sec et définitif puis s'en allant une fois l'ouvrage accomplit.  

Le Cubain ne renie pas son passé, il l’a forgé et l’a élevé à ce statut qu’il occupe alors il conserve des souvenirs, il y pense et sait faire le point. Pas gentleman mais poli, il ne vous tiendra pas forcément la porte ou la main mais en revanche, il saura vous saluer ou vous manifester une certaine sympathie pourvu qu’à ses yeux elle soit méritée. Intermédiaire principal du Sud, il se fait interlocuteur posé sachant filtrer les informations et peser efficacement le pour ou le contre. A ce jour, il est le seul habitant du Sud à pouvoir approcher les frontières du Nord sans être descendu à vue. Car s’il vient c’est sans armes, en respectant la place de chacun. S’il montre les dents dans le Royaume de Jason Lecter, il devient un émissaire pragmatique et raisonnable ailleurs, capable de mettre entre parenthèses ses propres avis pour conserver un climat cordial.

Choqué de rien dans le boulot, il n’est pas insensible pour autant et lorsqu’il s’emporte on préfère se trouver loin, surtout lorsque la discussion a lieu entre lui et ses principaux « collègues ». Certes, il n’est pas le plus démonstratif mais sachez que s’il sourit, s’il vous offre une accolade où qu’il vous écoute, c’est sincère. Lui ne supporte pas le mensonge, bien trop cru et franc pour accepter de l’entendre même lorsqu’ils sortent de la bouche d’un danger publique. La parole du Cubain est sans faille, jamais traître et il n’a plus à le prouver lorsqu’on sait dans quel univers il évolue. Univers qui a bien souvent tendance à le faire grogner et pester.

L’homme est connu, Cerbère du Sud ayant des contacts, des yeux et des oreilles partout. S’il doit apprendre quelque chose d’une tiers personne il y arrivera et n’hésitera pas à en venir aux mains pour ça. On oubli pas qu’il sait se battre, que c’est là le fondement de sa vie et qu’il a des années d’entraînement derrière lui. Dangereux oui, mais jamais gratuitement. À bon entendeur ...  




YOU & YOURSELF
Mais qui donc se cache sous le masque ?



Ton p'tit nom/pseudo : Jason
Ton âge : toujours 25 ans
Un ou plusieurs comptes sur le forum ? ce sera le troisième et dernier
Comment as-tu connu le forum ? Secret défense ~
Et comment tu le trouves ? J'sais pas ; parait que les gens ici sont pas très ... nets ?
Quelque chose à ajouter ? A force de l'utiliser en rp celui-là, ça devenait difficile de le laisser en scenario vu que j'en avais une idée trop précise.

Merci à toi, nous te souhaitons la bienvenue sur Weins ~ Le staff reste à ta disposition si tu rencontres le moindre problème. Souviens toi, tu disposes d'une semaine pour remplir ton dossier ; s'il te faut plus de temps n'oublie pas de le signaler. A très bientôt ♫




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MessageSujet: Re: Alonso Cimarro Alonso Cimarro Icon_minitime1Sam 6 Juil - 14:25

Le fameux Cubain. Il est sekchy. *sort*

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MessageSujet: Re: Alonso Cimarro Alonso Cimarro Icon_minitime1Sam 6 Juil - 16:48

Une fois que Jason a connue le plaisir d'un DC, il ne peut plus résister a un troisième sadique

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MessageSujet: Re: Alonso Cimarro Alonso Cimarro Icon_minitime1Dim 7 Juil - 6:33

Re bienvenue avec ce beau colosse bave

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MessageSujet: Re: Alonso Cimarro Alonso Cimarro Icon_minitime1Dim 7 Juil - 14:39

Merci les amis !
Content que l'arrivé du Cubain suscite vos réactions **

Je vais de ce pas faire l'histoire de ce brave homme ~

Jason
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MessageSujet: Re: Alonso Cimarro Alonso Cimarro Icon_minitime1Dim 7 Juil - 22:09

D'ordinaire j'aurai laissé ça aux autres mais comme c'est mon scenario ça parait logique que je me valide comme un grand hum

Je vais de ce pas faire toute la paperasse ~~

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COMMENTAIRES : Mon monde est une vaste étendue aride couverte de poussière et d'une végétation desséchée. Les arbres y sont tordus et leurs branches aux mains griffues écorchent et s'accrochent. Les seules visites que j'y reçois sont celles de spectres décharnés, de bêtes sauvages et de monstres sanguinaires. J'habite au coeur d'hectares désolés où j'expose des cadavres d'une macabre Beauté, et lorsque je parcours ces champs de Mort et de Douleur, marchant seul sur des ossements humains, les seules fleurs qui se mêlent à mes cheveux sont les flocons de neige qui descendent d'un ciel gris plombé.
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MessageSujet: Re: Alonso Cimarro Alonso Cimarro Icon_minitime1Mer 10 Juil - 11:46

Tu vas vraiment finir schizo xD

Jason
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MessageSujet: Re: Alonso Cimarro Alonso Cimarro Icon_minitime1Mer 10 Juil - 11:48

Hm pour tout te dire cher ami je dois certainement l'être déjà XD

*s'auto-valide tien*

Bienvenue chez les
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© Jason


DÉSORMAIS TU POURRAS ►
... aller te recenser pour éviter de te faire arrêter par la Police sans passeport ;
... aller demander un rang pour qu'on puisse mieux savoir qui tu es ;
... te faire de nouveaux amis influents pour pouvoir être survivre ici ;
Et t'amuser parmi nous en te baladant dans la ville !


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MessageSujet: Re: Alonso Cimarro Alonso Cimarro Icon_minitime1



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