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Qu'on me foute la paix ! [Tristan] TERMINE
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MessageSujet: Qu'on me foute la paix ! [Tristan] TERMINE Qu'on me foute la paix ! [Tristan] TERMINE Icon_minitime1Jeu 30 Juin - 16:51

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Il avait du sang sur les mains et du ... quelque chose de non identifié et de blanc dans les cheveux. Frederic se dit qu'il ne fallait pas, mais alors surtout pas qu'il se pose de questions sur ce qu'il avait bien pu foutre cette nuit. Il avait surement ... Non, ne pas réfléchir, ne surtout pas réfléchir, ça fait mal à la tête. Il tatait ses poches en sortant de son immeuble et en sortit un paquet de cigarettes. Le pire était qu'il s'était réveillé tôt pour un ... mardi. Oh merde.

Les cours.

...

Bof, tant pis.

Il s'était donc réveillé tôt, il n'était même pas neuf heures. Il pouvait largement retourner se coucher. Il s'assit contre le mur et salua son voisin retraité avec un grand sourire et la clope à la bouche. Il savait que ledit retraité ne l'aimait pas, mais alors pas du tout, mais il s'en foutait royalement. Aucun de ses voisins ne l'aimait de toute façon. La concierge ne manquait jamais de lui tiquer au visage, le jeune couple du premier passait son temps à leur dire de faire moins de bruit, le retraité du troisième n'était rien qu'un vieux schnoks, la mère célibataire du quatrième avait tenté de le violer une fois dans l'ascenseur rien que pour qu'il lui file un peu de drogue et la famille du cinquième faisait très attention à ce qu'aucun des enfants ne l'approchent. Mais qu'est ce qu'il foutait dans cet immeuble bon marché alors qu'il aurait largement les moyens de se payer un hotêl particulier et d'envoyer se faire foutre ses voisins débiles ? Non mais vraiment, c'était n'importe quoi. Il se promit de déménager. Avant de se rappeller qu'il se l'était déjà promis environ quatre fois.

Bon. Problème du jour : se trouver une occupation.

Il n'avait personne avec qui coucher, personne à faire chier, personne à ... Personne. A part l'autre folle du quatrième. Mais bon, il n'en était pas là non plus et il fallait vraiment qu'il arrête de faire ça sans protection. C'était ce qu'il avait fait hier. Heureusement que c'était un mec. Il se sentait épuisé. Il allait peut être allé en cours finalement, cela lui ferait une occupation.

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MessageSujet: Re: Qu'on me foute la paix ! [Tristan] TERMINE Qu'on me foute la paix ! [Tristan] TERMINE Icon_minitime1Mar 12 Juil - 1:13

Les journées de Tristan se succédaient et... se répétaient. Toujours cette routine, ces jours longs et ennuyants où il n'avait rien à faire à part aller en cours ou occasionnellement se droguer, autant dire qu'il préférait la seconde option. Il n'était pas complétement accro, il lui arrivait de passer plusieurs journées sans toucher à la drogue, mais au bout d'une semaine son corps commençait à crier cruellement famine. C'était dans ces moments là qu'il se précipitait chez Naoki, son dealer, qu'il s'achetait un sachet magique de poudre blanche et qu'il partait faire le tour du quartier dans l'espoir de rencontré un copain sniffeur, histoire de partager sa solitude avec un pote, aussi défoncé soit il. Frederic Host était le mec parfait avec qui partager des moments de défonces, il était toujours dans un pire état et cela permettait à Tristan de dédramatiser sa situation, non il n'était pas au bout du rouleau mais oui, Fred l'était. Quand il se retrouvait tout les deux, c'était uniquement pour se défoncer et partager des conversations hautement philosophiques du genre 'croit-tu que les éléphants peuvent voler avec leurs grandes oreilles?'.
Aujourd'hui, le programme de la journée s’annonçait... complètement vide. Encore un jour qu'il allait finir avec Fred dans son appart à sniffer. Ni une ni deux, Tristan se dirigea vers la chambre de campus de Naoki, histoire d'acheter de quoi s'amuser un peu, en ce moment il avait trop de pression - ses projets d'aménagement dans le Quartier Nord, cette Calypso Storm complètement tarée qui as passé la matinée à lui crier dessus, ses engueulades avec Miss Gallagher, ses notes qui dégringolent, ses putains de nouvelles lois de notre héros national, ce connard de Gordon - il avait besoin de décompresser, de se laisser aller, d'oublier sa solitude un instant et de simplement se défoncer.
Le troc - de la poudre contre une belle liasse de billets - se fit en toute discrétion dans la chambre de Naoki, Tristan était un habitué et Naoki savait exactement ce dont il avait besoin. Aujourd'hui, pas d'accrochage, Tristan avait tout l'argent et aucun impayés, pour une fois...
Il se dirigea ensuite vers le centre ville pour rejoindre Fred à son appart'. Il n'avait pas prévenu le jeune homme de son arrivée mais cela ne faisait aucun doute qu'il serait disponible pour un petit enneigement nasal, il était toujours prêt de tout manière. Arrivé au pied de l'immeuble, Tristan claqua la portière de sa voiture et se dirigea vers l'entrée. Le concierge était habitué à le voir et le laissa rentrer sans problèmes. Il monta les marches tranquillement, inutile de se presser pour aller se défoncer, l'espace temps n'aurait bientôt plus beaucoup d'importance, alors à quoi bon. Devant la porte de Fred traînait un string, ces fréquentations n'ont jamais été claires, mais de là à ce que l'une de ces conquêtes reparte sans sous vêtements... C'était du Frédéric Host tout craché, complètement fou. Il tapa plusieurs fois à la porte, au moins Fred serait réveillé s'il était encore à l'état d'épave sur le sol.

« - Mec, debout ! C'est Tristan, j'ai de quoi s'amuser ! Ouvre ! »

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MessageSujet: Re: Qu'on me foute la paix ! [Tristan] TERMINE Qu'on me foute la paix ! [Tristan] TERMINE Icon_minitime1Mer 13 Juil - 17:34

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Quand Frederic entendit qu'on frappa à sa porte à neuf heures du matin, il crut qu'il allait sortir pour casser la tête de la personne qui osait faire ça. Il écrasa sa cigarette dans le cendrier. Et entendit un gémissement. ... Comment ça un gémissement ? AÏE, non, c'est vrai, il s'était promis de ne pas poser de question. D'accord, il y avait quelqu'un sur le canapé. QUI était ce mec ? C'était quoi son nom déjà ? ... Décidement, il se posait trop de questions. Il lança un coussin sur la tête qui dépassait des couvertures et entendit un nouveau gémissement, étouffé celui là. Le reveil allait être brutal, mais Frederic préférait largement mettre son coup d'hier soir à la porte plutôt que de laisser attendre Tristan, avec de la poudre blanche dehors. Franchement, il était un gars bien, il choisissait ses priorités. Et puis sans blague, tant qu'à faire, il préférait prolonger l'état de démence dans lequel il était déjà. Il reprit sa cigarette, la ralluma et enfila un jean qui trainait là.

Note pour plus tard : appeller une femme de ménage. UR-GENT.

Il prit une aiguille qui trainait aussi (beaucoup de choses trainent souvent chez Frederic Host) et la remplit d'un liquide sans se demander pourquoi ni comment le faire. Il serra les dents, planta l'aiguille dans son avant bras gauche et attendit dix secondes. Bien, au moins il aurait la paix pour au moins trois heures et il pourrait s'enneigner la tête tranquille.

"Excuse moi, t'es qui déjà ?"
"Jesse."
"Ah ouais. Tire toi, y a mon pote qui est là."

Un beau mec aux cheveux châtain se releva du canapé avec un tatouage sur le coté droit du torse. QUI ES-TU ? Mal à la tête, mal à la tête. Il lui demanda s'il était en train de plaisanter, l'air de dire, eh, on a baisé toute la nuit, pourquoi tu me vires dehors, laisse moi dormir. Mais rien à foutre, il était neuf, Monsieur Poudre Blanche attendait derrière, alors hops, fous le camp. Frederic tira une bouffée de sa cigarette et ouvrit grande la porte.

"Allez, casse toi, prends des fringues. Ah, et tiens y a ton ... string ? qui traine là. CAS-SE TOI ! Salut Tristan, excuse moi, c'est le bordel cet appart. Rentre. Oui, c'est ça, salut Jesse, non je ne te rappele pas, non, t'as rien oublié, allez, salut."

La porte claqua et Frederic chercha son paquet d'herbe. Il entendit frapper aux murs. Mais quels cons ces mecs, même pas capable de tirer un coup et de partir le lendemain matin. Il soupira longuement et coiffa ses cheveux d'une main.

Il ... il quoi ? Le canapé ? Mort. La chambre ? Manquerait plus que ça. Il aurait bien besoin d'une douche. Au lieu de ça, il poussa la bouteille de vodka et celle de sirop de grenadine qui étaient restés sur la table (de la grenadine ?) et y posa ledit paquet d'herbe qu'il venait de repérer sur la télévision.

"Excuse, c'est légèrement le bordel."

Neuf heures et quart. Une pensée lui traversa l'esprit.

"J'peux savoir c'que tu viens foutre chez moi à NEUF HEURES DU MATIN ?"

Non mais et puis quoi encore ? Il n'avait donc jamais la paix ? Il s'écroula dans un fauteil et fit signe à l'autre de prendre le canapé. Torse nu, il commençait à avoir froid et il ... avait un suçon à la base du cou. Et merde tiens.

"T'as de la chance que tu m'aies pas réveillé, je te raconte même pas la taulée que t'aurais prise."

Frederic le matin ? Ce n'était même pas la peine d'y penser. Il fit un rapide aller retour dans sa chambre pour y prendre une chemise noire qu'il enfila sans même prendre la peine de la boutonner et retourna à sa place initiale. Tristan était vraiment chiant quand il s'y mettait.

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MessageSujet: Re: Qu'on me foute la paix ! [Tristan] TERMINE Qu'on me foute la paix ! [Tristan] TERMINE Icon_minitime1Mar 9 Aoû - 19:27

Alors que la porte de l'appart de Fred s'ouvrait enfin et qu'un beau gosse châtain sorti en trombe de l'appart, ramassant son string au passage - quoi? ce string était à un mec? Fred avait vraiment des rapports bizarres... - Tristan rentra dans la pièce principale. Cependant, ça n'avait de 'pièce principale' que le nom, vu le bordel. Complètement indescriptible. Une fumée de cigarette envahissait peu à peu l'atmosphère, le canapé était recouvert de fringues en tout genre, des bouteilles d'alcool traînaient partout, la soirée avait visiblement été chargée de vodka... Un sachet d'herbe fut vite dans les mains de Fred, ce que Tristan regardait envie, bien qu'il ai de quoi se mettre beaucoup plus défoncée que ça au creux de sa poche, et Dieu sait qu'il avait envie de s'envoyer dans les vapes.

"Excuse, c'est légèrement le bordel."

Tristan hocha imperceptiblement la tête. Sans blague? Ça se voit presque pas, presque. On dirait juste qu'un groupe de Rebelles a débarqué dans l'appart et a tout retourner, juste ça. Fred devrait vraiment penser à engager une femme de ménage, ou au moins à faire un minimum de rangement histoire que la pièce soit vivable... Vivable, rien que ca. Mais Frederic lui-même n'était pas un mec vivable, alors à quoi bon. Il n'était que 9h du mat après tout, et Frederic - après sa nuit agitée - n'avait pas forcément eu le temps de ranger ces affaires, c'était compréhensible. Quoi qu'en fait, il ne les ranger jamais, et ca aussi c'était compréhensible vu son état de défonce 24h/24. Tristan observait inlassablement la pièce, se demandant pour la n-ième fois comment un tel bordel pouvait exister lorsque Frederic le sortit de sa stupeur, criant qu'il n'était encore que 9h du matin.

"Je sais bien qu'il n'est que 9h, pas la peine de crier ! C'est même pour ça que je suis là. J'ai pas envie d'aller en cours, j'veux juste me défoncer. "

Il y avait des jours comme ça où rien n'importait plus que sa came et sa tranquillité. Pouvoir se défoncer au calme, oubliant que tel ou tel professeur devait encore être en train de s'arracher les cheveux constatant son absence. Il y avait des jours où ses anciennes blessure resurgissaient et où il aurait tout fait pour ne pas y penser, cela incluait de se droguer pour oublier.
Ignorant la menace de Frederic quant à ses éventuels projets de le défoncer un jour prochain où il arriverait trop tôt, Tristan sorti son petit sachet blanc de la poche et le posa sur la table.

"Regarde ce que je t'ai amené, c'est la dernière livraison de Naoki, parait qu'c'est d'la bonne. J't'en file un peu si tu veux."

Tandis qu'il déballa sa poudre, Tristan repensa au mec qu'il avait croisé en arrivant, son visage ne lui disait rien mais il était probablement à l'académie. Encore une des nombreuses conquêtes de Fred. Elles se succédaient dans son lit, et quand je dis 'elles' je parle de ses conquêtes, car non ce n'était pas qu'un défilé de filles, les mecs y passaient aussi.

"Putain mec, j'ai rêvé ou ton plan cul s'est barré avec un string tout à l'heure ?!"

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MessageSujet: Re: Qu'on me foute la paix ! [Tristan] TERMINE Qu'on me foute la paix ! [Tristan] TERMINE Icon_minitime1Mar 9 Aoû - 20:12

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Légèrement. Il ne prononçait pas ce mot souvent. De temps en temps, histoire de dire que de temps en temps, il vivait avec modération. Mais en regardant l'appartement, on se rendait bien compte que ce n'était pas du tout le cas au contraire. C'était le bordel absolu, un vrai merdier. Il lui était dificille de croire qu'ils n'avaient été que deux. Que s'était-il passé déjà ? Il était rentré dans ce foutu bar aux couleurs arc en ciel et empli de mecs tous plus beaux les uns que les autres, puis il s'était réveillé dans son lit ce matin.

Les neurones en feu. Il cligna des yeux trois froids et croisa les jambes en tailleur.

Des pâtes. Avec un steak et de la sauce barbecue. Qui a dit qu'il fallait être enceinte pour avoir des idées de nourritures bizarres ? Frederic sourit à Tristan. Décidement, il le connaissait très mal. Il ne fallait jamais débarquer chez lui à une heure pareille en lui proposant un peu de drogue. Parce que, comme dit précédemment, Frederic ne vivait jamais "un peu". C'était tout ou rien. Non mais sans blague, autant lui foutre le paquet dans la poche. Mais si Tristan était là, c'était qu'il n'avait pas sufisamment le moral pour aller en cours et faire des conneries. Il y avait deux Tristan Gallagher. Celui qui passait son temps à faire chier le monde pour s'amuser et celui qui piquait du nez dans la poudre blanche pour se marrer. Mais le second remplacait le premier quand le premier avait la flemme ou avait trop regardé de film pornos pour être sufisamment en forme.

Quoi ? Frederic, des pornos ? Sans blague, mais personne n'a remarqué la chose avec abdos et sous vetements douteux qui venait de sortir de chez lui ou quoi ?

Il passa une main dans ses cheveux.

"Depuis quand tu fais confiance à Naoki pour de la poudre toi ?"

Naoki, sans blague ... Frederic n'avait pas confiance en ce mec là. Il n'était qu'un lycéen de base qui tente de monter aux sommets des bas fonds tout en montrant et en faisant croire son manque de motivation. Et la plupart des gens pensaient que c'était la vérité. Les gens sont cons. Mais si vraiment Tristan prenait le risque de partager, Frederic n'avait plus qu'à pencher la tête.

"Mais évidemment que tu vas m'en filer."

Les yeux du toxico menaçèrent de se fermer tout seul. Il aurait du dormir cette nuit. Il se rattraperait cette après midi. Parce qu'il n'était absolument pas question d'aller en cours dans cet état et vu la matinée qui se profilait. Il eut de nouveau un sourire, rêveur et involontaire celui là. Comme quoi c'est bien vrai, il en faut peu pour être heureux. Une partie de jambes en l'air, une mise en bouche accompagné de string volant, une fête improvisé à neuf heures du matin avec un bon pote, un retour sous les couvertures chaudes et une soirée passé à boire en dançant sur les tables avec des travestis. ... Ah, non, manque de bol, ça avait été hier ça.

"T'as pas rêvé, il avait un string. Et un percing sur la langue si tu veux tout savoir. Je t'épargne les détails, j'imagine."

Le coup du perçing, c'était très intéréssant. Ca décuplait les sensations, un truc de dingue. Il se mordilla la lèvre. Il détailla son vis à vis et se rendit compte que ce n'était pas du tout la même chose. Et une fille avec un perçing ? La classe. Oui, il ferait ça la prochaine fois tiens.

"Si tu veux bien, passons aux choses sérieuses."

Il fallait bien que quelqu'un le fasse. Frederic ouvrit le sachet et répandit de la poudre sur la table. Un peu, beaucoup, il en restait un tiers dans le sachet. Il bascula d'un quart de tour pour tendre le bras et attrapa deux cylindres. Il en lança un sur les genoux de Tristan, prit l'autre entre ses doigts droits pendant que de la main gauche, il tassait la poudre et l'éffilait en une barre. Simple, facile, il faisait ça depuis tellement longtemps maintenant qu'il n'avait plus besoin de cartes de crédit pour s'aider. Il pencha la tête, armé du cylindre et se drogua.

Il poussa un soupir.

" Wow ... Effectivement, Naoki marque un point sur ce coup ... Elle vient d'où ?"

Comme si ça l'intéressait vraiment.

En clair il s'en foutait. La seule chose qu'il voulait, c'est de la poudre. Et quand y a plus de poudre, la seule solution est de rester seul à profiter des effets. Tristan s'en alla une fois le sachet vide et le silence revient. Il soupira.

Il allait encore devoir passer une journée entière à chercher des occupations.

Il fit un volte face rapide, attrapa son téléphone et composa un numéro en se mordillant la lèvre.

[colo=red]"Oui, Jesse ? Excuse moi pour tout à l'heure ... Tu fais quoi aujourd'hui ?"


FIN DU RP.
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