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Sweet Parasite Invité
| Sujet: Sweet Parasite Ven 3 Oct - 2:32 | |
| SALLY FREEMAN « Laisse-moi devenir L'ombre de ton ombre L'ombre de ta main L'ombre de ton chien »▬ Jacques Brel |
identité NOM : Freeman PRÉNOM(S) : Sally DATE DE NAISSANCE : 21 Octobre À : New York ÂGE : 29 ans NATIONALITÉ : Américaine MÉTIER : Prostituée, DJ d’une radio pirate SIGNE PARTICULIER : à définir ► Poste vacant ; scénario ou inventé ? Inventée ► Célébrité choisie : Alice Kelson ► Groupe : Citoyens Crédits : Eric J. Hendersen (icons) || Corpse Bride (avatar) |
HISTOIRE « This is your life and it's ending one minute at a time. » — Edward Norton, Fight Club Un briquet s’allume, une flamme enflamme une bougie. Elle a vingt neuf ans, Happy Birthday Sally. Sur un unique cupcake, elle fait un vœu et elle souffle sans vague à l’âme. Vingt neuf ans qu’elle a déjà Sally, elle a rien vu encore qu’elle dit. La trentaine qu’elle sourit, ça dépend des gens. Y’en a à cet âge ils ont déjà fait le tour du truc, le dos cassé et les mains tâchées. Puis y’a les autres, ceux qu’ont vu la vie en rose comme elle chantait Edith, bercés par des journées colorées. Sally elle le dit souvent, que la vie c’est comme un tableau sur l’quel tu balances la peinture. La sienne, elle a commencé en noir et or. À l’extrême Sud du quartier entre deux bécanes et le bitume, avec pour plafond une nuit sans lune. Les potes pour l’escorter après au premier hosto valable. Son premier soleil à la gamine, c’était les phares. Papa maman, ils étaient contents, les copains pareil parce qu’on la désirait, qu’on l’aimait. Les bikers c’est une grande famille vous savez. Mais ouais c’était déjà pas fort clair à New York, c’était Gordon, c’était pas au goût de tout le monde... c’était surtout pas au goût d’ses vieux en somme. Les Freeman, c’était des révolutionnaires, c’était des anarchistes de première. Ils voulaient du changement, ils voulaient pas de Gordon et de ses promesses vaseuses qu’ils disaient. Alors avec leur bande ils défonçaient les vitrines, ils taguaient les murs, ils défilaient à pas d’heure en faisant gueuler les klaxons... c’était pas des tendres. Ça a pas duré, ça faisait tache dans le décor tout neuf de New York qu’on annonçait bien propre. On les a chassé les Freeman, et en c’temps là les flics ils avaient encore accès au Sud alors ils ont pas trop eu le choix. Ils ont mis les voiles. Sally ? Sally ils l’ont laissé à un vieux pote, il tient toujours la boutique pleine de trucs pas communs dans le quartier, ils l’ont laissée avec une certaine somme pour l’élever. Ils voulaient pas que leur gamine grandisse en cavale, qu’elle soit chassée comme eux. Elle avait même pas trois ans. Bye bye Papa Maman, Sally elle grandira, Sally vous en fait pas, elle survivra.
Elle a survécu Sally ouais, et l’autre il a tenu parole. Entre l’école et la boutique la p’tite elle faisait son chemin. Maligne qu’elle était, discrète, elle était sage Sally, débrouillarde avec ses p’tites mains. Elle aimait bien toutes ces vieilleries, ces trésors et après les devoirs Sally elle flânait là, elle gênait pas. Elle lisait, elle fouillait, elle réparait du haut de ses neuf ans. Elle s’en souvient Sally, du drôle de type qu’a débarqué une nuit, avec ses cheveux blonds, son grand sourire et son air décalé qui voulait un truc particulier. Elle jouait à la poupée, elle a pas trop écouté mais il l’a remarquée pourtant. Il l’a regardée un bon moment, avant d’avancer et de demander, pourquoi Sally, elle avait choisi ce jouet tout moche. Y’en avait d’autres des poupées, plus jolies, mais Sally elle a relevé les yeux puis elle a dit « Elle est pas belle, c’est vrai. Mais tu vois m’sieur, elle a eu une drôle de vie. Elle est toute cabossée, elle a même des cheveux tout brûlé ; tu vois son œil là ? Ben il est cassé aussi. Alors personne la regarde jamais. » Puis elle a sourit, la vieille poupée serrée dans ses bras, contre son cœur. « J’aimerai bien la réparer. Qu’elle me raconte son histoire après. » L’autre il a rit, mais il s’est pas moqué. Elle était dans son monde Sally, elle voulait connaître les gens déjà, elle aimait les histoires, les vraies. Alors il a fouillé ses poches, a sorti une araignée en peluche. Un p’tit machin avec de gros yeux, tout laid et mou, plutôt ridicule. Il avait fabriqué ça qu’il disait, il se faisait chier un jour en travaux pratiques. Sally, elle trouvait ça si amusant, de faire ça tout seul. Puis il a pris ce qu’il cherchait, il a payé puis, il a laissé son araignée à Sally. « Si tu arrives à la garder longtemps et que tu survis ici, un jour moi aussi je te raconterai une histoire. Une... drôle d’histoire. » Il a dit ça, elle a promis, et il est partit.
Sally, elle a toujours gardé l’araignée, accrochée en porte clés. Même quand elle a grandit, qu’elle a quitté l’école et qu’elle a choisit. De fil en aiguille le chemin du trottoir, sans trop y penser. C’était pas pour l’argent, ça au fond elle s’en moquait. Sally elle a mis le pied là dedans comme on choisit de faire d’la danse, d’la cuisine, elle voulait connaître les gens. Y’a d’autres façons de faire qu’on lui disait, mais ça c’est réel. Pourquoi tant de personnes, se glissent dans les draps d’une ou d’un inconnu sur un coup de tête ? Pourquoi ils ont l’air si étrangement seuls, si dépouillés, si blasés ? Obligés de payer pour quelques heures, un vague sentiment d’exister ? Elle a compris, avec le temps, elle a cherché Sally. Les gens sont entourés de gens qui se sentent seuls. Les gens sont seuls dans la foule, seuls en presque tout. Et ils veulent pas ; ils aiment pas. Ils sont rares les autres seuls que ça blesse pas. Sally, elle était pas juste leur pute ; elle était une présence.
Il a pas compris, il a pas accepté le Patron alors à dix neuf ans il l’a foutue dehors. Avec l’argent qu’il avait encore pour elle, il voulait plus la voir chez lui. Sally elle a rien dit, elle a compris. Alors elle a filé, elle a cherché son petit coin à elle, parasite parmi les parasites parce qu’elle entendait souvent ça. Eux les rien du tout du Sud, les parasites de New York venus casser la belle image. Le furoncle qui s’étalait sur le visage de top model d’une ville en pleine expansion. Elle en riait, elle souriait ; ça lui a donné une idée. C’est dans l’ancienne bouche de métro qu’elle a fini, y’avait pas grand monde en ce temps là à part les clodos qui se protégeaient du froid. Y restait des wagons qui roulaient plus depuis des lustres. Sally elle avait trouvé son nid. P’tit à p’tit elle les a nettoyé, un peu arrangé. Que ce soit pas trop mal ; et elle en a gardé deux.
Pendant dix ans, elle a bossé dur Sally. Pour que la bouche de métro, elle reste pas un trou abandonné. Les vieux wagons, elle les ouvre à la demande. Souvent à d’autres filles, le temps d’une passe. Suffit de lui demander les clés. Quand l’hiver est rude, on vient la trouver pour passer quelques heures au chaud, boire un café. C’est pas le resto du cœur, non, Sally elle veut pas de ça. Pas juste filer une conserve en espérant que ça change demain. Non, Sally elle aime quand ça change vraiment, quand y’a de l’effort, du travail. Peu importe ce qu’on fait, comment on le fait. Elle aime pas les zonards, ceux qui se contentent de regarder le temps passer. La paresse est peut-être le pire des vices à ses yeux. Elle a changé la bouche de métro ; c’est long dix ans l’air de rien vous savez ? Rien était à vendre là, c’était juste oublié. Maintenant y’a des néons qui fonctionnent devant des petits magasins retapés. Un bar miteux, une laverie, un vendeur de hot-dog, des chiottes, des recoins. Ça bouge. C’est un p’tit monde, pas toujours clean et ce qu’on y trafique c’est pas les fleurs des champs mais bon... on va pas s’attendre à un palace dans l’extrême Sud hein. C’est un coupe gorge, comme ailleurs dans l’coin. Dans le wagon de tête d’un train mort, y’a de la musique souvent. C’est Sally qui a monté sa radio. De la récup à gauche à droite, ça émet juste assez pour le quartier. Et puis on l’entend, Sally qui parle, qui nous explique, berce entre les chansons...
Il est minuit, le son baisse et un soupir amusé traverse les ondes. « Bonsoir New York ! Bonsoir petits parasites sudistes ! » Sally allume une cigarette, croise ses jambes nues sous un peignoir aux impressions japonaises. Un peu échevelée qu’on l’imagine, un client sans doute endormit dans son lit à côté. « Comment allez vous ? Bien j’espère, mieux pour d’autres. On parle de la fusillade partout ; j’ai une pensée pour les familles en deuil. Pas pour les morts, je l’avoue... au fond, les morts n’ont plus de soucis. » Elle hausse les épaules pour elle même, sourit et approche les lèvres du micro. « Une bonne nouvelle cependant ! Nos méchants ont pris la poudre d’escampette ! Je sais aussi, la police est pas très heureuse mais on va pas se le cacher, on préfère que ça tourne comme ça par chez nous n’est-ce pas ? » Aucun tabou, aucun complexe, elle parle comme elle pense Sally et ça plaît. « Vous vous souvenez de Bill ? Bill boule à zéro comme on l’appelle ; et bien Bill vous remercie d’avoir répondu nombreux à notre appel au dons ! Grâce à vous il a pu payer ses fournisseurs et remplir le bar après le braquage ; son café billard rouvre demain ! » De l’actualité, elle en sait des choses Sally à force. De tout de rien, de l’important ou du banal, juste ici, pour les gens du coin. « Il fait froid ce soir, il neige déjà. La mélancolie plane, je vois des visages tristes, des pieds qui traînent aussi. On voûte le dos, on rentre le menton dans nos écharpes, on frisonne... » Mais dans la voix de Sally il n’y a pas de dépit, il n’y a pas de larmes, pas de sanglots. « On a l’impression de s’endormir, on aimerait bien mais vous savez ? Je crois qu’on devrait juste prendre le temps de relever la tête, de se regarder dans un miroir et se dire : je suis là. On ne pense pas à nous ailleurs, c’est vrai. On ne se penchera pas sur nous. On préfère toujours les pommes en l’air sur les branches du pommier à celles tombées par terre mais nous, ici nous connaissons la valeurs de ces pommes. » D’un regard qu’elle jette à travers une vitre brouillée Sally elle regarde la bouche du métro qui s’anime, qui vit, qui s’acharne à vivre. « Demain ne sera un autre jour que si vous le décidez, n’attendez pas de voir l’horloge tourner mes amis, vous passeriez sans doute à côté d’un truc. Banal, c’est possible. Le regard d’une inconnue, le sourire d’un autre, la poignée de main d’un proche, une affaire à faire, une idée géniale qui n’attend qu’une circonstance... Foncez donc ! » D’une main elle prépare la prochaine chanson, No Regrets, c’est terriblement ancien. « Que vous puissiez dire, après demain... non, je ne regrette rien ! »
CARACTÈRE « I Dream a Wonderful World … » Elle a la tête qui dodeline, qui suit la musique. Un sourire, une cigarette flash au coin des lèvres et claque ses ongles au bord d’un verre. Ébréché, objet pas neuf pas vieux, un peu comme elle parce que Sally elle a pas tant vécu. Sally c’est une femme, une gueule de femme enfant pourtant, on lui donnera jamais ses bientôt trente ans. Sally vous l’avez sans doute déjà vu, au détour du Sud fringuée entre cuir et dentelles, un truc glam rock collé à la peau et de grand yeux aqueux. Elle vous aura sourit, possible, ou toisé d’un drôle d’air, un mirage p’t’être trop réel. Elle sait pas mentir Sally. Parce que sa vérité, c’est sa réalité qu’elle dit et qu’elle argumente, qu’elle a vu, qu’elle sait. Sally, elle a vu la Jungle, elle a vu l’Enfer déjà. Elle a vu New York la tête à l’envers.
Oh elle est pas méchante, elle a pas mauvais fond v’savez. Mais Sally elle est pas gentille, pas non plus. Elle a ses têtes, elle a ses humeurs, mais elle est juste. Elle a des raisons, comme tout le monde m’direz vous. Alors ouais des fois Sally, vous l’aimez pas, mais vous l’adorez parfois. La p’tite prostituée de la bouche de métro, vous la trouverez toujours si vous êtes pas au top niveau. Elle est un peu de tout Sally, votre sœur, votre amie, votre maîtresse, une fille de passage, un souvenir ou bien. Quelques fois on la paye, mais on la baise pas non ; parce que Sally c’est plus que ça. Elle écoute, elle sait bien faire ça. Vous avez dit souvent, sortant de son wagon-appartement, un petit merci qui ressemble à rien, mais qui veut tout dire. On remercie pas les putes, elle le sait Sally parce qu’elle fait juste son boulot, sa prestation comme elle dit. Mais elle a conscience aussi, que beaucoup dans ce monde, ben ils attendent juste une compagnie...
On ira tous au paradis, qu’elle dit la chanson. Sally elle est pas dupe, pas si naïve parce que la ballade on sait tous qu’elle ment. Y’a des bons et des pas bons qu’ils disent, la p’tite Sally elle, elle voit juste des gens. Des gens qui font des trucs pas jolis jolis des fois, d’autres qui font des trucs sympas, des qui font rien et ouais y’en a. Et ben quoi ? On est humain qu’elle dit, avec des rêves et des envies, avec des boulons tordus dans la tête et des chaussures qu’on traîne derrière. Elle est pas médisante Sally, elle veut pas juger, elle est p’t’être beaucoup trop sensée. C’était une gamine Sally, qu’y a grandit un peu trop vite, un peu trop dans son coin, à mater les autres de loin. Elle aime pas les non dits, elle aime pas l’hypocrisie. Sally elle aime quand c’est cash, ça fait mal des fois mais ça tue pas, ça passe. Le silence il tue qu’elle dit, c’est un coup de couteau dans le dos, c’est moche et ça pourrit tout. Les coups comme ça, on lui fera pas deux fois.
Elle s’ballade armée Sally, un p’tit flingue discret, une lame dans le décolleté. Elle veut pas tuer mais hey, faut pas s’leurrer. On est à New York et tu sais, c’est pas sûr sur le pavé. Elle aime pas s’battre mais faut bien, pas trop l’choix. C’est qu’elle a pas le job plan plan Sally, mais elle l’a choisi. On s’étonne, on lui a d’jà dit qu’elle était folle. Mais elle aime bien Sally, rencontrer, parler, écouter, regarder. Et maintenant elle sait s’faire respecter. Elle vit pas mal, elle se plaint pas. « Tu sais » qu’elle dit « Il y’a tellement plus malheureux que moi. »
Elle a fait sa radio, ça couvre que le Sud, IL laisse faire, faut croire qu’IL aime ça. Elle a monté ça toute seule Sally, dans la wagon d’à côté, on est pas mal à l’écouter. « Parasite » qu’elle s’appelle, ça cartonne dans le coin. Pourquoi vous m’demanderez ?! Parce que Sally, elle crache sur rien, elle discute, elle s’amuse, mais jamais elle accuse. Elle laisse des clins d’oeil, comme ci comme ça, à tout le monde et personne. Elle passe des chansons, récentes ou vieilles pour beaucoup on les connaissait même pas, la censure hein, vous savez ça. Elle nous parle Sally, nous jette une voix de téléphone rose sur les ondes et elle raconte. La vie, les choses, elle a ce truc, j’sais pas quoi... Elle prend aux tripes, ça chavire t’sais des fois mais dans le fond... même quand ils ont une journée de merde dans les jambes, quand ils y croient plus en rien ben les gens ils se disent, comme elle dit Sally : « Ici, j’me sens chez moi ».
Au final Sally, on la connaît, mais on la connaît pas. On la trouve, on passe un moment et on fume trois clopes, un verre à la main puis quand on part ben à Sally, on lui laisse nos déboires. Ces valises trop lourdes qu’on se sent plus d’tirer. Elle les prend, elle comprend. C’est pas une utopiste, c’est une artiste. La tête là haut qui s’évade, mais les talons dans le sol, qui marchent bien droit dans le dédale. Elle est bizarre Sally qu’ils disent certains. Elle est pas con, loin de là. Elle est logique, elle réfléchit, elle aimerait que ça change et ça dérange. Elle a l’air de rien Sally, un p’tit bout de femme assez jolie, frivole qu’on l’imagine et puis... ben non, c’est pas encore ça. Elle a dérivé Sally, sur quelques rails de poudre, au goût de trop de verres, mais elle a rit. Elle aime la vie, elle aime le monde. Elle sait pas où il va, elle veut pas savoir. Sally elle profite, elle veut voir, savoir. Et si demain elle est plus là, ben j’vous le dis la p’tite Sally, ben elle me manquera...
YOU & YOURSELF Mais qui donc se cache sous le masque ?Ton p'tit nom/pseudo : Corpse Bride Ton âge : Un certain âge Un ou plusieurs comptes sur le forum ? Un pour commencer Comment as-tu connu le forum ? PRD ou Top site, je ne suis plus sûre ^^ Et comment tu le trouves ? Il m’a l’air bien accueillant et mature Quelque chose à ajouter ? RAS mon général ! Pour l’instant en tout cas Merci à toi, nous te souhaitons la bienvenue sur Weins ~ Le staff reste à ta disposition si tu rencontres le moindre problème. Souviens toi, tu disposes d'une semaine pour remplir ton dossier ; s'il te faut plus de temps n'oublie pas de le signaler. A très bientôt ♫
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Invité
| Sujet: Re: Sweet Parasite Ven 3 Oct - 6:23 | |
| Bienvenuuuuuuuuuuuue *-* rahlalala quel vava ! Mais faut pas se prostituer, c'est pas bien, Gordon va t'aider, si tu fais un effort tu verras ! Plus sérieusement, bon courage pour ta fiche et amuse-toi bien ! |
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Invité
| Sujet: Re: Sweet Parasite Ven 3 Oct - 9:49 | |
| Bienvenue à toi ! J'adore ton avatar *-*
Bon courage pour ta fiche, hésite pas si tu as des questions, on est là pour toi !
J'ai hâte de découvrir ton personnage, elle a l'air super cette petite Sally . |
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Invité
| Sujet: Re: Sweet Parasite Ven 3 Oct - 10:07 | |
| Bienvenue ! Je ne connaissais pas ton avatar mais il est super cool *w* ! Et puis vu ce que ton personnage fait comme métier, ça va être très intéressant ! (enfin une autre prostituée \o/ *sors loin* ) Bref bon courage pour ta fiche et à bientôt en RP |
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Calypso R. Storm
AVATAR : Lindsay Ellingson
ANNÉE D'ÉTUDE : 5ème année
COMMENTAIRES : Sachez mes chers que vous vous trouvez face à la Reine de l'Académie. Reine que vous devrez acclamer, admirer parce que j'ai été élue par tout le monde comme étant la plus belle de cette fichue Académie. Mais ne vous réjouissez pas : beauté ne veut pas dire stupidité...
Ça fait six ans que je suis réélue, et je compte bien continuer jusqu'à mon départ.
Je suis également la Dirigeante en chef du Quartier Nord et je peux vous faire décapiter d'un simple claquement de doigt. Je suis également une prostituée de luxe et mes clients me sont entièrement dévoués alors dis un seul truc de travers sur moi et j't'envois en prison jusqu'à la fin de ta vie !
Allez sans rancune : je suis magnifique et intelligente, t'es rien face à moi !
CRÉDITS : Shiya
MESSAGES : 1923
Date d'inscription : 05/05/2011
CASIER JUDICIAIREÂGE: 22 ansCAMP: Sans idées fixesJE SUIS: un incertain, je peux basculer d'un côté comme de l'autre
| Sujet: Re: Sweet Parasite Ven 3 Oct - 12:07 | |
| Daniel : Comment ça "enfin une prostituée" ? Et Calypso c'était quoi ? Une strip-teaseuse ? *sort* BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE ! Je ne connaissais pas non plus cet avatar mais il est sublime ! J'ai très hâte d'en savoir plus sur cette charmante demoiselle Si tu as des questions n'hésite surtout pas à me MPotter ou à MPotter le staff en général \o/ Bon courage pour la rédaction ! |
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Invité
| Sujet: Re: Sweet Parasite Ven 3 Oct - 12:31 | |
| Je réitère ce que les autres ont dit, voilà un avatar peu commun tout à fait génial ! Bienvenue |
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Invité
| Sujet: Re: Sweet Parasite Ven 3 Oct - 17:52 | |
| Wahou quel accueil Merci à toutes et à tous ! J'ai hâte de finir ma fiche pour arpenter les rues de NY en votre compagnie ** |
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Invité
| Sujet: Re: Sweet Parasite Ven 3 Oct - 18:19 | |
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Invité
| Sujet: Re: Sweet Parasite Sam 4 Oct - 17:32 | |
| Merci ^^ Ne me reste que l'histoire à boucler |
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H. Allegra Lockhart
AVATAR : Teresa Palmer
ANNÉE D'ÉTUDE : Troisième année
DC : Tess Sayers, Spencer J. Fitzpatrick, Zélis Jaeger-Hyde
COMMENTAIRES : « Mirror, mirror on the wall, tell me, who has the sickest mind of them all? »
CRÉDITS : tearsflight (avatar) || alaska + tumblr (signature)
MESSAGES : 614
Date d'inscription : 10/04/2011
CASIER JUDICIAIREÂGE: 22 ansCAMP: Sans idées fixesJE SUIS: un incertain, je peux basculer d'un côté comme de l'autre
| Sujet: Re: Sweet Parasite Sam 4 Oct - 19:14 | |
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Invité
| Sujet: Re: Sweet Parasite Dim 5 Oct - 15:25 | |
| Encore merci à toutes et à tous ! J'ai terminé ma fiche en espérant qu'elle vous convienne. Merci m'sieur le méchant pour les autorisations en MP et les détails ça m'a bien aidé ^^ Bien hâte de vous rencontrer tous \o/ |
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Calypso R. Storm
AVATAR : Lindsay Ellingson
ANNÉE D'ÉTUDE : 5ème année
COMMENTAIRES : Sachez mes chers que vous vous trouvez face à la Reine de l'Académie. Reine que vous devrez acclamer, admirer parce que j'ai été élue par tout le monde comme étant la plus belle de cette fichue Académie. Mais ne vous réjouissez pas : beauté ne veut pas dire stupidité...
Ça fait six ans que je suis réélue, et je compte bien continuer jusqu'à mon départ.
Je suis également la Dirigeante en chef du Quartier Nord et je peux vous faire décapiter d'un simple claquement de doigt. Je suis également une prostituée de luxe et mes clients me sont entièrement dévoués alors dis un seul truc de travers sur moi et j't'envois en prison jusqu'à la fin de ta vie !
Allez sans rancune : je suis magnifique et intelligente, t'es rien face à moi !
CRÉDITS : Shiya
MESSAGES : 1923
Date d'inscription : 05/05/2011
CASIER JUDICIAIREÂGE: 22 ansCAMP: Sans idées fixesJE SUIS: un incertain, je peux basculer d'un côté comme de l'autre
| Sujet: Re: Sweet Parasite Lun 6 Oct - 12:05 | |
| Haaaaaaan ! J'adore ta façon d'écrire ! C'est super agréable de te lire ! Ton personnage est grandiose et j'ai vraiment hâte de te voir RP ! Bienvenue parmi nouuuuuuuuus ! Bienvenue chez les LES CITOYENS |
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Invité
| Sujet: Re: Sweet Parasite Lun 6 Oct - 15:16 | |
| Han Merci Calypso pour la vitesse de validation Je suis contente que la p'tite Sally te plaise ^^ Je vais tout de suite faire le petit tour réglementaire pour être dans vos fichiers ** |
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| Sujet: Re: Sweet Parasite | |
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