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♂ Joseph Gatt ▬ Ava non négociable
Jason
Jason Lecter
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Informations
AVATAR : Heath Ledger - Joker

DC : Venecia

DISPONIBILITÉ RP :
  • Disponible


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Date d'inscription : 18/04/2012

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MessageSujet: ♂ Joseph Gatt ▬ Ava non négociable ♂ Joseph Gatt  ▬ Ava non négociable Icon_minitime1Ven 18 Oct - 20:40


Strakhov Vladislav

« ft. Joseph Gatt »






Actuellement je suis « LIBRE »

☞ Noms Strakhov
☞ Prénoms Vladislav (Vlad)
☞ Âge 42 ans
☞ Groupe Citoyens
☞ Nationalité Russe
☞ Signe particulier
☞ Militaire Radié (actes de barbarie)
☞ Clandestin - ex condamné à mort
☞ Avoisine les 2m - intégralement rasé

Crédits : © Jason (icons) || © Jason (avatar)



INFORMATIONS



Vladislav, plus volontiers nommé Vlad est née en Russie où il resta la majeure partie de sa vie. Vie qu’il passa essentiellement dans un village militaire, son père étant haut gradé. Enfant solitaire et secret, il était élève doué et studieux quoi qu’un brin trop réservé. Très tôt, il trouve une passion dans le culte du corps, l’exercice et enchaîne la natation, la musculation, la boxe et on ne s’étonne pas lorsqu’il décide de rejoindre les rangs de l’armée Russe en digne héritier de son père. Officier prometteur, on attend de lui une longue carrière d’autant qu’il se révèle particulièrement à l’aise entouré d’hommes sachant jouer des poings. Lorsque la nano-bombe explose, une puissance telle que la Russie, si attachée à ses secrets d’état et adepte des guerres froides depuis plus d’un siècle, vit fort mal la chose et dans le domaine politique la paranoïa est de mise. On suspecte n’importe qui, citoyens et étrangers d’espionnage et les arrestations se multiplient parfois pour bien peu de choses. Le climat est vicié de peur, les voisins ne sont jamais bien vus et on garde un œil par dessus son épaule en permanence d’autant que la mafia locale -libérée des affres des l’espionnage- voit là une occasion rêvée de relancer ses affaires à fond de train.

Vlad est tout jeune lieutenant lorsqu’il se voit contacté par les services secrets. Une unité est en passe d’être crée mais seuls quelques hommes triés avec soin sont retenus autant dans la police, l’armée que dans les attachés au gouvernement. Ils seront sept. Le boulot ne doit jamais être découvert, aucun rapport rédigé et leurs cibles sont autant les prétendus espions que les branches criminelles importantes. Le but : faire parler et arracher les plus petits secrets autant des bouches que des couloirs, des rues afin de rétablir l’ordre sur la glorieuse Russie. C’est à cette époque que Strakhov se découvre un réel sang froid, comme une prédisposition naturelle à encaisser le pire sans broncher. Un bon bourreau est un homme dont la main ne tremble pas, qui ne s’apitoie pas, qui range son âme au vestiaire et fait son travail sans poser de questions. Et il en a tiré des confidences, il en a tué des hommes mais sans plaisir. Il s’agissait plutôt de curiosité, envie de voir jusqu’où il pouvait pousser les limites du corps humains jusqu’à le rompre et l’esprit avec. Un vilain sujet d’études comme un autre de son point de vue. Il a trente deux ans lorsque l’unité est découverte -on ne sait comment- et les pratiques peu rutilantes leur valent à tous l’emprisonnement dans une prison de haute sécurité. Radié des rangs militaires pour actes de barbarie Vlad voit son avenir s’annoncer de manière bien sombre et les services secrets ne les aideront pas, jamais soupçonnés. Aucun moyen de prouver un lien avec eux, et l’état les pense terroristes. La bonne blague alors qu’ils travaillaient indirectement pour.
Profitant d’un changement de pénitencier, Vlad et la bande parviennent à s’évader non sans avoir causé la mort des agents sensés les accompagner. Un coup de chance leur vaudra de profiter du départ d’un cargo de marchandises. Traversée pénible, très longue dans les cales pendant laquelle il verra ses compagnons s’éteindre les uns après les autres au rythme de leurs arrêts par les ports asiatiques. Le temps passé caché comme un rat, à survivre grâce aux marchandises déclarées impropres à la consommation, Vlad ne le compta pas et n’a pas cherché à le savoir. Lorsqu’il pose enfin les pieds sur le sol Américain il tâche d’être discret. Il se rase les cheveux puis le corps entier afin d’éviter de semer la moindre trace ADN et à demeurer si longtemps dans l’obscurité ses yeux sont devenus étrangement sombres, sa peau blafarde. Transformé et très amaigrit, il n’a pas fière allure mais parvient à trouver un boulot dans une salle de sport où après quelques mois à se refaire une santé, il se retrouve mêlé à un trafic d’anabolisants dont il ne savait absolument rien et le voilà à nouveau emprisonné.

La prison, ça vous change un homme dit-on. Lui ? Même pas. Vlad a reconstruit son corps au fil des ans et avec lui une réputation peu aimable. Il n’est pas homme à s’acharner, dosant parfaitement ses coups et il ne lui faut qu’un pour coucher un homme de gabarit moyen. Il noue quelques amitiés, peu profondes mais loyales et en apprend d’avantage sur la ville, la dictature mise en place et suit assidûment les actualités que la vieille télévision passe ainsi que les articles de journaux. Habitude que celle de tout savoir, se tenir au courant et il y en a trois dont il suit le parcours avec une réelle attention. Les bêtes du quartier Sud, on lui en parle, certains savent des choses à leur sujet et le rêve de les croiser semblait alors irréalisable à cette époque.
Une bagarre éclate fin Août 2099 et Vlad tue cinq personnes dont deux gardiens. On le condamne à la peine capitale, au couloir de la mort … il n’y mettra jamais les pieds. Nouveau coup de chance lorsqu’une nuit la prison est éventrée, que les cages s’ouvrent et qu’enfin Vlad rencontre le Clown et sa bande. Ce sera un massacre et aucun employé des lieux ne sera épargné avant que les nouvelles troupes rejoignent le Sud.

Le Russe se fait rapidement au fonctionnement des lieux, ne pose aucune questions -il jugerait la chose irrespectueuse- et prend part à toute activité de la plus ingrate à la plus ardue. De même, il adopte un comportement soigneusement défini envers chacun des trois maîtres. Face au Clown il se tait, demeure à distance raisonnable et ne déplie son imposante carcasse que s’il le demande. Sous les directives du Croque Mitaine Vlad abat des charges de travail impressionnantes, questionne -s’il sent son interlocuteur disposé à lui répondre- afin de ne commettre aucune erreur et volontiers il garde les yeux baissés. Le Cubain est plus ouvert au dialogue et ils se croisent presque chaque matin pour les entraînements journaliers qu’ils s’imposent afin de garder la forme ; ils semblent capables de s’entendre dans le temps. On parle peu ou pas du passé chez Lecter, c’est comme ça et seul le futur compte réellement. Vlad n’y voit aucun problème et son étiquette de criminel ne pèse rien sur sa conscience. De même, les hommes n’étant pas consignés au repaire H24, le géant peut aller venir dans le Sud comme bon lui semble et il est assez ironique de songer que c’est en vivant de la manière la plus illégale possible qu’il se sent libre enfin.

Vladislav est un homme solide, fiable qui -s’il possède un physique de casseur- estime pourtant que la force ne règle pas tout et qu’elle ne suffit pas à vaincre. On le pense peu intelligent, il en est loin. Le grand Russe a connu le prestige des grades, il sait parler et se tenir même en grande soirée, féru d’histoire, amateur d’armes et usant d’une patience d’ange il est également très au courant des pratiques mafieuses. De nature optimiste, il sait rassurer et se montrer prévenant si l’occasion se présente. La colère est chose inexistante chez Vlad, il a la maîtrise totale de lui même et même lourdement blasé il se contentera de soupirer. On le pense glacial, il est avant tout réfléchit et méticuleux mais loin d’être insensible, il garde seulement ses états d’âmes pour lui. Si on l’invite à discuter, c’est un homme plaisant et sage qu’on imagine bien loin du rôle de bourreau et pourtant lorsqu’il y vient c’est un tout autre personnage. Il suffit qu’on lui donne le droit de mettre son âme de côté pour voir surgir un tortionnaire d’une curiosité maladive, sourd aux suppliques et d’une maniaquerie à faire froid dans le dos. Non il n’est pas si gentil et s’il tient à vous tirer les vers du nez attendez vous à passer un très mauvais quart d’heure. S’il ne prenait aucun plaisir à la chose autrefois, compte tenu de ses nouvelles fréquentations il commence à penser que cela puisse devenir une vraie distraction et ce ne sont pas le Clown ou le Croque Mitaine qui iront dire le contraire.
Il a gardé cette manie d’être intégralement rasé, des heures d’entraînements journalières et demeure très organisé que ce soit dans sa manière de gérer les ordres, son espace personnel ou encore son temps libre. Lui semble bien parti pour suivre longtemps les trois Monstres du Sud et pourrait même monter en grade si ses maîtres veulent. Vlad n’est pas ambitieux, il est heureux de cette nouvelle vie et voue une réelle gratitude à la bande du Clown. Si le hasard et la chance veulent bien lui en laisser le temps, il fera tout son possible pour les aider. Du plus simple au plus complexe et du plus innocent au plus atroce.          




RELATIONS






© Jason

Le Clown, Jason Lecter
le Croque Mitaine, Alastor Burton
& le Cubain, Alonso Cimarro


Vlad considère ses trois nouveaux maîtres comme des sauveurs et leur témoigne un immense respect. Pour l’heure il est encore au stade d’homme à tout faire mais on hésite pas à lui donner des ordres, preuve qu’il est largement capable de les gérer. Réellement, il ne songe pas à s’imposer et n’oserait pas un seul pas de travers dans cet univers bizarre qu’est le repaire. Ces trois là sont fous, ils ont la mort collée aux talons et si le Russe a été considéré comme barbare, il sait pourtant bien qu’il est à peine un débutant en comparaison de ses supérieurs. Il espère dans l’avenir être capable de les satisfaire assez pour voir le monde changer à leurs côtés, que le feu purifie ce monde qui ne tourne plus rond. Lui a vu sa Russie Natale bouffée de vices et selon lui tout les gouvernements du monde devraient être changés.
Qui sait, un jour peut-être …




© Inconnu

Zachary Gaunt ▬ Ripou à surveiller


Il a eut à le surveiller durant la vengeance de Lecter contre la mafia avec ordre de lui briser les genoux à la moindre entourloupe. L’autre avait pour mission d’utiliser un bazooka et piaffait d’impatience à utiliser l’arme. Vlad a dû gérer l’hystérie de ce type qui ne cessait de l’interroger sur l’heure et plus d’une fois il a songé à l’assommer ; mais les ordres étaient tout autres et il s’est contenté de faire son boulot. Il semblerait que le Clown apprécie le gain de folie de celui-là, autant dire qu’il faudra le garder à l’oeil à l’avenir et Vlad compte bien s’y employer lors de ses balades nocturnes dans le quartier. Car Zachary n’est pas sans s’aventurer dans cette zone et le Russe est particulièrement efficace lorsqu’il s’agit de récolter des informations.  






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