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♂ Joseph G. Lewitt - Folie pour folie, prenons les plus nobles - FRP
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MessageSujet: ♂ Joseph G. Lewitt - Folie pour folie, prenons les plus nobles - FRP ♂ Joseph G. Lewitt - Folie pour folie, prenons les plus nobles - FRP Icon_minitime1Jeu 12 Déc - 10:37


Peter Capa

« ft. Joseph Gordon Lewitt »






Actuellement je suis « LIBRE »

☞ Capa (nom d'emprunt, vrai nom libre)
☞ Peter (prénom d'emprunt, vrai prénom libre)
☞ 27 ans
☞ Clandestin
☞ Hongroise
☞ Photographe artistique
☞ Artiste officielle de la campagne de photographie de Luka depuis cinq ans
☞ Officiellement mort

Crédits : © Climb (icons) || ©Barbadoll (avatar)



INFORMATIONS



Il se décrit lui même comme un mélange de Peter Parker sans Spiderman et de Robert Capa sans les tranchées.
Peter est un vrai rescapé de guerre. Encore en Hongrie à l'époque où la troisième guerre mondiale informatique éclate, né d'une mère informaticienne et d'un père employé dans un garage de construction automobile, sa famille perd tout ce qu'elle a en 2079, en l'espace de même pas six mois. Âgé d'à peine sept ans à l'époque, il suit ses parents dans un long périple visant à rejoindre les Etats Unis et New York, là où, dit on, de nouvelles technologies commencent à voir le jour. Bercée dans une enfance modeste puis pauvre, il apprend les valeurs de la famille, ainsi que quelques superstitions de désespéré, les airs de terre promise dont l'Amérique ne s'est jamais réellement départi.

Il découvrira avec une certaine horreur la véritable situation de la ville de New York. Immigré clandestin arrivé dans un cargo de vingt personnes, il s'entasse avec d'autres dans un dortoir du centre et regarde ses parents vivre l'enfer des hivers interminables encore plus sûrement que s'ils étaient entrés en Hongrie. La famille se débrouille malgré tout, jusqu'à ce que la mère tombe malade et décède, laissant un mari veuf et un orphelin de douze ans. Mais les deux bonhommes se soutiennent, ils font des petits boulots pour parvenir à tenir la pauvreté.

Peter a seize ans quand, en 2088, il rencontre Jack, à l'occasion d'un trafic de petites technologies. Il veut se faire un cadeau et, indécis, opte pour un petit appareil photo, qui signera par la suite une passion sans bornes. Peter et Jack s'entendent comme cul et chemise, ils ont la même envie de vivre, le même genre d'humour un peu léger.
En 2090, en pleine révolte aux côtés de Jack, Peter verra son père tué par balle devant leur dortoir. Ivre de rage, il passera les deux années suivante à confectionner un attentat à l'encontre du commissariat de Police qui, en 2092, causera trois morts et quatorze blessés par bombe à détonateur. Rapidement identifié, il profite de ses réseaux clandestins pour simuler sa mort dans un accident de voiture et change de pseudonyme, officiellement enterré fin d'année 92.

Il poursuit sa passion, à couvert, dormant tantôt sous les ponts, tantôt hébergé par des âmes charitables. Il multiplie les clichés de la misère humaine et les développe dans une petite chambre noire que Jack l'a laissé installer chez lui. Il les revend au porte à porte pour se faire quelques pièces, dans la mesure de sa liberté de mouvement. En 94, il est présenté à Luka et devient son photographe officiel. Personne ne sait qu'il est tombé amoureux d'elle au premier clic de son appareil.

Peter est un doux dingue. Il arbore toujours une attitude nonchalante malgré son sérieux dans son travail, et ne peut pas s'empêcher de sourire avec amusement là où d'autres pleureraient à chaudes larmes. S'il a la mort de trois personnes sur la conscience, il ne regrette pas son geste malheureux, et part du principe que chacun doit vivre avec le poids de ses actes. Soucieux de ne pas se laisser ronger par les souvenirs, il vit au jour le jour, entre les ponts, les hébergement de fortune et sa première femme : la photographie. C'est un esprit libre et bohème, fervent défenseur de l'indépendance de l'esprit, probablement le plus révolté de tous par les rumeurs de propagande académique. Capable de travailler nuit et jour à la réalisation de campagnes artistiques, il ne démord jamais de son rêve de détruire, une bonne fois pour toutes, des pratiques à son sens aussi dégoûtante que la manipulation d'adolescents

Ce PV peut être modifié par le scénario en cours, m'envoyer un mp pour plus d'informations.




RELATIONS



© Luka

Luka  ▬ Earhart ▬ Tunnel of love


Peter est amoureux de Luka et tout le monde le sait. Sauf elle, bien sûr. Il l'a aimée dès la première séance, fasciné par sa beauté brute et authentique, comme il n'en avait jamais rencontré avant. Mais Peter n'est pas le premier photographe dans la vie de Luka et le spectre de son défunt concurrent le hante sans même l'avoir connu, au point qu'il se surprenne à le détester parfois, même s'il en a honte. Elle n'est pas prête à renouer de tels liens avec un artiste proche et il peut le comprendre. Il attend, donc, patiemment, que la femme de sa vie se rende compte à quel point il est amoureux. Mais Luka freine les choses également par peur de sauter le pas, il le sait, et il a beaucoup plus de mal à accepter ça. Il ne faudrait pas qu'elle attende trop, sans quoi il finira par tourner le dos à cette jolie histoire encore non écrite. En attendant, il se réchauffe auprès de ces dames, et n'oublie pas qu'il est là pour une cause plus grave.




© Alexia

Jack ▬ Sawyer ▬ Copains & Cochons


Ces deux là se sont entendus dès qu'ils se sont rencontrés, et ça commence à faire un moment, déjà. Quand Jack a fait un prix à Peter sur un vieil appareil photo retrouvé dans les poubelles et remis en état, de bonne qualité, somme toute. Parce qu'on peut reprocher beaucoup de choses à Jack mais pas d'être malhonnête en affaires. Et c'est ce troc, après tout, qui a signé la passion de Peter pour la photographie. Ils ont fait la révolution ensemble, se sont soutenus l'un l'autre, c'est même Jack qui lui a présenté son égérie actuelle à Peter, et même celle dont il est amoureux aujourd'hui ! Ils font les quatre cents coups, sa charrient souvent mais se soutiennent toujours. Une amitié comme ça, on n'en trouve pas derrière toutes les portes.




© Ireadyou_right

Alastor ▬ Burton ▬ The Gentleman


Si vous le lui demandez, il n'y a pas plus charmant qu'Alastor Burton. Cultivé, sympathique, rafraîchissant et extrêmement intelligent, il est parmi ceux qui ont su arracher une sympathie sans limite à Peter. Déjà parce qu'il a su reconnaître son pseudonyme, fait assez rare pour être noté. Les deux hommes se sont rencontrés en forêt, l'un occupé à se ressourcer, l'autre à essayer ce tout nouvel effet polarisant qui capture si bien les rayons du soleil entre les feuilles... Depuis, ils se retrouvent de temps à autre, ils parlent, de tout et de rien. En fervent opposant du gouvernement, Peter apprécie les discours anti totalitaires de Burton, quand bien même ils trouvent beaucoup d'oppositions à débattre. Il lui parle souvent de son travail, de la photographie et même de la cause de son Front.
Est ce qu'il sait ce que fait son camarade lui-même ? Bien sûr que non. De l'import export, un truc dans ce goût là... Quelque chose qui rapporte, en tout cas. Il ne sait pas non plus qu'il lui livre des informations sur un plateau d'argent. Car à tellement s'entendre avec lui, Peter devient de plus en plus bavard, et bien trop confiant au goût de ses collègues, si tant est qu'ils apprennent cette étrange entente un jour.




© angelic37

Emma ▬  Jefferson ▬ Bon gré mal gré


On ne peut pas dire que l'ambiance entre Emma et Peter soit au beau fixe. Il lui reproche de ne pas être assez engagée et, de son côté, elle ne voit pas bien l'utilité concrète d'un photographe dans un mouvement de révolte. Ils collaborent, bien sûr, ne serait ce que pour éviter de se faire botter le cul fissa par Miss Earhart, mais ce n'est pas dans un esprit de respect et d'entente mutuelle. Dans le fond, c'est surtout que Peter a beaucoup de mal à pardonner à Emma d'être si riche, lui dont la famille était si pauvre, et de ne pas vraiment se rendre compte de la gravité des choses autour d'elle. Emma le sait et elle déteste ça, surtout qu'il n'ose pas vraiment le lui dire en face. Elle a vécu bien trop d'années à prouver au monde qu'elle était plus qu'une petite fille pourrie gâtée, ce n'est pas pour qu'un imbécile de photographe vienne la mépriser derrière. Un jour, une dispute éclatera sûrement, et violemment. En attendant, ils collaborent.
Bon gré mal gré.







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