Nine/Nina Werthem - Faire semblant pour approcher sa proie
Nine
Nine
Nine "Nina" Smith-Werthem
Informations
AVATAR : Taylor Warren

ANNÉE D'ÉTUDE : 2ème année

DC : Calypso R. Storm (à privilégier pour les MPs), Samson Hugher, James Miller, Harmony Chanteloup

DISPONIBILITÉ RP :
  • Disponible


COMMENTAIRES : Tic tac tic tac. Les mois passent, me rapprochant de ma douce vengeance. Tic tac. J'arrive.
CRÉDITS : m.bjs

MESSAGES : 77

Date d'inscription : 15/07/2011

CASIER JUDICIAIRE
ÂGE: 18 ans
CAMP: Sans idées fixes
JE SUIS: un incertain, je peux basculer d'un côté comme de l'autre


MessageSujet: Nine/Nina Werthem - Faire semblant pour approcher sa proie Nine/Nina Werthem - Faire semblant pour approcher sa proie Icon_minitime1Sam 1 Juil - 21:12


Nine WERTHEM

« Vivre et mourir ne dépend pas de toi mais de moi.  »
▬ Nine



identité

NOM : De "von Werthem" je n'ai gardé que Werthem mais vous me connaissez sous le nom de Smith.
PRÉNOM : Avant c'était Bianca. Désormais je m'appelle Nine mais personne ne le sait. A Weins, on m'appelle Nina. Nina Smith.
DATE DE NAISSANCE : 18 février 2079
À : Vienne
ÂGE : 20 ans
NATIONALITÉ : Autrichienne
ANNÉE D’ÉTUDE : 2ème année
SIGNE PARTICULIER : Jumelle de H. Allegra Lockhart. Connue sous le nom de Nina Smith.

► Scénario
► Célébrité choisie : Taylor Warren
► Groupe et Club : Zinc ; Tir à l'arc

Crédits : ©️ m.bjs (icons) || ©️ m.bjs (avatar)



HISTOIRE

« ll y a deux histoires : l'histoire officielle, menteuse, puis l'histoire secrète,
où sont les véritables causes des événements. »

— Balzac.





On a tendance à dire de certaines personnes qu'elles partent avec des handicaps dans la vie. Parce qu'elles ont le nez de travers, un cheveux sur la langue ou bien tout simplement parce qu'elles sont hors normes. Bianca Nina von Werthem, elle, décida d'expulser sa sœur jumelle hors du ventre maternelle une semaine après qu'une nano-bombe ait ramené l'homme à l'âge de pierre. Les jumelles étaient prévues depuis deux semaines, avaient failli sortir le jour de la nano-bombe puis s'étaient décidées à faire une arrivée au meilleur moment de l'année. Naître alors que les hommes devenaient fous et que le désespoir se mêlait aux meurtres, si ça ce n'est pas commencer avec un handicap dans la vie...

Lorsqu'on parlait de Marlene Von Werthem, ce n'était pas vraiment pour louer son intégrisme ou sa fiabilité, c'était plutôt pour chuchoter sur sa folie et son sourire de travers. Tout le monde le savait en Autriche : Marlene était bizarre, il valait mieux la laisser de côté. C'était un avertissement bien transmis et qui avait fonctionné pendant de nombreuses années. Mais Keith Lockhart n'était pas autrichien alors l'avertissement, il n'en avait pas eu connaissance. Et puis cette femme un peu étrange qui souriait de travers, elle lui plaisait bien. Il en avait une autre de femme aux États-Unis mais Keith aimait profiter de ses voyages pour « garder des souvenirs plaisants ». Souvenir plaisant... pas forcément ce qu'on aurait dit concernant Marlene Von Werthem mais bon... Chacun se taisait et laissait l'américain se dépatouiller pour draguer la jeune femme. La solidarité masculine ça ne concernait visiblement pas les hommes non-européens et les femmes, elles, étaient bien trop dédaigneuses pour vouloir tirer l'américain de l'embarras dans lequel il se trouvait. S'il avait été attiré par Marlene c'était sûrement qu'il avait, comme elle, une case en moins.

Keith et Marlene avaient filé le parfait amour pendant deux mois, faisant flancher les esprits aux alentours qui se demandaient si, finalement, la Marlene elle n'était pas juste timide. Et alors que les voisins commençaient à s'adoucir, Keith décida qu'il était temps de retourner chez lui. Marlene commença à faire ses maigres valises pour accompagner l'homme de sa vie et le tout petit grain de rationalité qui s'attardait dans son cerveau prit complètement la fuite lorsque Keith disparut le jour où ils étaient censé partir ensemble aux États-Unis. Malin, l’américain avait embarqué le billet d'avion qu'il avait acheté pour Marlene et laissé une lettre pour lui expliquer qu'il était marié, heureux et qu'il n'avait aucunement envie de se compliquer la vie avec elle. Encore moins sachant qu'elle était enceinte et que les enfants, bah ça ne l'intéressait pas du tout. Il lui laissa quelques billets et lui déconseilla de le chercher. Il ne s'occuperait pas d'elle, un point c'est tout. Marlene lut le mot plusieurs fois, oubliant de manger et de dormir, puis ce fut comme si son cerveau avait décidé que c'en était trop pour lui. Trois jours après le départ de Keith, Marlene von Werthem, héritière d'une dette familiale trop lourde à porter, enceinte de jumelles déjà ennuyantes et pauvre de tout, décida que la vie s'était trop foutue d'elle et qu'il était temps d'y mettre un terme. Elle jeta par la fenêtre tout ce qui lui tombait sous la main, tenta d'étrangler un voisin un peu trop curieux et disparue dans la nature. Personne ne lança d'avis de recherche et les voisins commencèrent à prendre possession du petit deux-pièces qu'elle habitait. La vie reprit son rythme et bientôt, le nom de Marlene Von Werthem commença à s'effacer des esprits.

Pas de chance pour ce petit village autrichien : Marlene revint un soir, les yeux fous et le ventre démesurément gros. Elle entra dans son appartement, mis dehors les squatteurs qui avaient décidé d'y habiter, planta un couteau dans le ventre de l'un d'entre eux puis s'enferma à double tour en fermant les volets. On entendait ça et là des gémissements mais personne ne pris le risque de prendre de ses nouvelles. On laissait la femme gronder et on chuchotait à propos de son ventre et de sa démence. C'était forcément de la faute de l'américain. Et les hommes de répliquer qu'en même temps, la Marlene elle n'avait qu'à pas être naïve. C'était un sujet de débat comme un autre et chacun y allait de son petit avis. Mais personne ne cherchait l'avis de la principale concernée. Pas intéressant. Et puis la nano-bombe explosa, détruisant tout ce que l'homme avait construit depuis des décennies, rayant l'électricité de la surface et massacrant les technologies que l'homme considérait désormais comme vitale. Tout disparut en une soirée et ce fut la panique partout dans le monde, sauf dans le petit deux-pièces de Marlene Von Werthem qui, elle, se contrefoutait du monde. Ironiquement, Marlene fut la plus prompte à se relever après la nano-bombe et elle profita de la panique généralisée pour voler chez ses voisins et pour accoucher seule dans un appartement insalubre. Les jumelles auraient dû mourir mais elles étaient résistantes comme des mauvaises herbes. Comme Marlene. Les cris de bébés finirent par devenir une habitude dans le quartier et personne ne vint s'occuper d'elles : les voisins étaient occupés par leur propre survie. Et puis un jour on entendit plus de pleurs et on partit du principe que Marlene les avait tué. Il y eut quelques sanglots et jurons pour le principe mais personne ne se risqua à vérifier l'information alors les bébés restèrent silencieux, conscients que les pleurs n'amenaient rien d'autre que des coups. Et Marlene continua sa torture désespérée alors que les voisins pleuraient leurs technologies perdues.

L'Autriche commençait à se reconstruire lorsque Keith réapparut. Il n'avait pas beaucoup changé et il n'afficha même pas un air d'étonnement en voyant l'appartement insalubre où vivait Marlene et ses deux gamines. Elles avaient trois ans et elles ne ressemblaient à rien dans leur coin sombre. Keith en pris une dans ses bras et sorti de la pièce sans même jeter un œil à Marlene qui paniquait, prostrée dans un coin. Sa femme avait découvert ses ébats autrichiens et lui avait ordonné de ramener le bébé. Il ne savait pas que Marlene avait accouché de jumelles et il n'avait pas du tout envie d'avoir à expliquer aux gens comment sa femme, stérile, avait réussit à avoir deux enfants. Déjà une, ça allait être compliqué à justifier alors deux ? Hors de question. Keith reparti donc avec une gamine, laissant la jumelle à son triste sort. Marlene allait sûrement la tuer, pas de quoi se retourner. Arrivé aux États-Unis, Keith falsifia l'état civil de la petite von Werthem et la vieillit de deux ans, pour qu'on ne suspecte pas son passage en Autriche. Ce fut facile à faire dans le chaos de l'après nano-bombe et la petite Allegra commença donc sa nouvelle vie avec cinq ans légalement, trois ans réellement.

Pendant ce temps, Marlene s'occupa de Bianca en la laissant enfermée dans l'immonde deux-pièces. La petite fille réussissait parfois à regarder par la petite fenêtre lorsque sa mère dormait. Et puis en grandissant, elle finit par se désintéresser du monde extérieur, inaccessible de toute façon. Elle se tourna entièrement vers l'intérieur et s'habitua à s'évanouir sur commande pour éviter d'être consciente lorsque sa « mère » amenait des hommes de l'extérieur. Il fallait bien gagner sa vie, n'est-ce pas ? Subissant sévisse sur sévisse, viol sur viol, blessure sur blessure, Bianca grandit dans la souffrance. S'échapper était impossible et la seule chose qui lui apportait un peu de lumière était cette jolie mélodie que chantait quelqu'un dehors. Tous les soirs, une femme chantait quelque part et tous les soirs, Bianca s'y accrochait pour ne pas flancher. Et puis un soir, le chant ne retentit pas. Bianca avait maintenant quinze ans. Elle attendit deux jours mais rien ne brillait le soir et petit à petit, l'enfer ouvrit ses portes. Alors Bianca décida que c'était le moment. Elle subit une dernière fois le passage des hommes puis se jeta sur sa mère, décharnée, et l'étrangla. Marlene mit du temps à mourir mais la drogue qu'elle avait ingéré l'avait affaiblie plus que d'habitude et elle n'avait pas vu sa fille ramper. La femme au sourire de travers finit enfin par mourir et Bianca passa deux nuits à casser ses chaînes. Le corps pourrissait rapidement mais l'odorat de Bianca s'était trop habituée à la puanteur pour être choqué. Les chaînes finirent par casser et Bianca mit le nez dehors pour la première fois de sa vie. Il faisait nuit et tout lui paraissait si grand, si effrayant... elle retourna dans l'appartement pendant trois jours puis disparut dans la nuit noire. Le cadavre de Marlene von Werthem fut retrouvé une semaine plus tard après que des voisins se soient plaint de l'odeur. On suspecta des chiens errants de s'être nourrit sur le cadavre tout en ne parvenant pas à expliquer comment ils seraient rentrés avec cette porte fermée. On découvrit les chaînes et les traces de vie d'une autre personne mais on se contenta de brûler le corps et de désinfecter l'appartement. Marlene était morte et c'était tout ce qui comptait.

Bianca s'enferma pendant un an dans une espèce de bâtisse abandonnée, trop effrayée par le monde extérieur. Elle avait toujours vécu enfermée dans une pièce et la perspective qui s'offrait à elle était trop grande. Trop intimidante. Et puis un jour, Bianca se scinda en deux. Bianca la recluse resta dans sa grange abandonnée. Nine la folle, sortit en plein jour pour se venger. Neuf ans, c'est tout ce qui restait à sa sœur. Nine tuerait sa jumelle d'ici neuf ans, avant, si elle y arrivait, mais pas plus tard. Elle ne supporterait pas de vivre un jour de plus sur la même planète que l'Autre. Nine avait attendu un an dans la bâtisse, à débattre avec Bianca puis elle avait gagné et elle était sortie. Alors Nine se mit en route et chercha. Elle fouilla dans des répertoires, interrogea l'histoire, menaça des gens et reconstruit le puzzle de sa vie, petit à petit. Après deux ans de recherche sur le territoire autrichien, Nine prit le large vers les États-Unis Une fois sur place, elle passa un an à chercher sa sœur et son père. L'entreprise ne fut pas facile car Keith Lockhart avait falsifié l'âge d'Allegra, la vieillissant de deux ans. Mais l'acharnement de Nine réussi à vaincre la ruse de Keith et un soir, Nine vit sa jumelle traverser la rue, à New-York. Elle l'avait retrouvée. Enfin... L'espionnant chaque jour d'avantage, Nine réussit à déterminer son emploi du temps et se construit une identité volée sur un cadavre quelconque. Désormais, elle s’appellerait Nina Smith. Un nom banal et un visage méconnaissable. Allegra était blonde et belle, Nine était décharnée et brune. Nine n'était pas laide mais l'enfermement avaient laissé leurs traces, faisant de ce qui aurait dû être beau, quelque chose de triste et de terne. Une grande brune décharnée, rien à voir avec la belle blonde flamboyante. Et pourtant...

Nine se laissa attraper lors d'un vol à l'étalage et fut conduite à l'Académie Weins, en première année. Elle était si proche de sa sœur qu'elle pouvait presque lui souffler à l'oreille « j'arrive ». Les neuf ans arrivaient bientôt à leur fin et bientôt, la blonde flamboyante serait forcée de reconnaître la brune effrayante. Bientôt. Mais pour l'instant, Nina Smith jouait son rôle à la perfection : petit bout de femme pas très belle, qui aurait sûrement pu être belle si elle faisait des efforts. Timide petite chose qui ne ferait pas de mal à une mouche. Cachant son identité dans une bâtisse abandonnée en Autriche, se rassurant parfois dans une cave pour échapper au monde trop grand et freinant sans cesse son sourire de travers... Bianca avait abandonné sa vengeance pour une vie de recluse, Nine, elle, savourait chaque minute qui la rapprochait de ces neuf ans fatidiques. Tic tac, les mois passent.

Nine est suffisamment patiente pour attendre le moment parfait pour tuer sa sœur. Mais à force d'attendre, le traitement commence à faire son effet...



CARACTÈRE

« Un homme de caractère n'a pas bon caractère. »
— Jules Renard.





Si tout s'était déroulé normalement, Bianca serait sûrement devenue une femme charmante, intelligente, timide et amoureuse des livres. Elle serait peut-être devenue bibliothécaire, mariée avec deux enfants. Elle serait sûrement devenue une bonne mère et aurait été appréciée par son entourage comme étant une femme de confiance. On aurait loué sa beauté délicate et ses gestes mesurés, on aurait parlé de sa générosité et on aurait chuchoté dans son dos. Et ça aurait peut-être été mieux pour le monde.

Pas de chance ou destin pourri, toujours est-il que Bianca ne devint rien de tout ça et passa quinze ans enfermée dans un deux-pièces autrichien couvert d'immondices en tout genre. Bianca ne se découvrit une personnalité que lorsqu'elle se scinda en deux, libérant Nine sur la planète Terre. Ni Nine ni Bianca ne ressentirent de la peine ou du soulagement en tuant Marlene : c'était ce qu'il fallait faire, point. Bianca prit la fuite en se transformant en recluse, échappant au monde qu'elle ne connaissait pas et qui lui paraissait trop grand. Nine, elle, trouva en la vengeance une raison de vivre suffisante. A partir de là, il ne sert plus à rien de parler de Bianca, prostrée en Autriche dans une ruine.

Nine n'est pas quelqu'un en qui on peut avoir confiance : aveuglée par sa vengeance, elle n'hésite devant rien et ne s'attache à rien. Enfermée pendant quinze ans et recluse pendant un an, la solitude ne lui fait pas peur et elle aurait plutôt tendance à fuir les gens s'il ne fallait pas assurer sa couverture de bonne élève. Lorsqu'elle n'arrive plus à se contenir, Nine se trouve une pièce vide et sombre et s'y enferme le plus longtemps possible, reste terrible de son enfermement.
Folle parce qu'elle n'a pas vraiment eu d'autres choix, il lui arrive de s'émerveiller pour de petites choses et dans ces courts moments, elle ressemble à une jeune fille de vingt ans qui en a connu des vertes et des pas mûres. Parce qu'elle a grandit avec sa mère uniquement sans rien voir du monde extérieur, elle est capable d'adopter son attitude à la perfection : dos voûté, sourire de travers, yeux fous et mains qui tremblent. Dans ces moments, on ne parvient plus à la voir elle mais on voit Marlene von Werthem.
Patiente à l'extrême, Nine ne s'agace jamais dans les files d'attente et pourrait rester immobile pendant des heures au même endroit sans avoir l'air ennuyée. Douée pour la fuite psychologique, elle est capable de laisser son corps seul pendant que son esprit vagabonde ailleurs. Ça et sa capacité à s'évanouir sur commande lui ont permis de survivre à des années de viol. Traumatisée à l'extrême, le simple fait d'imaginer un homme nu lui provoque des nausées terribles. Elle parvient à afficher un visage normal à l'Académie en se détachant de son corps lorsqu'elle croise des garçons. Discrète technique de fuite, il n'y a qu'elle pour s'en rendre compte.

Parce qu'elle n'a aucune personnalité propre, Nine peut enfiler des personnalités différentes en quelques mouvements. Elle ne connaît pas l'amour, la joie ou l'espoir mais elle a beaucoup étudié et peut donc les imiter à la perfection. Elle ne ressent rien mais ne le montre pas. Nine n'aime pas être surprise et apprend donc inlassablement tout ce qui lui tombe sur la main, au cas-où cela puisse lui servir un jour. Reine du déguisement, elle embrasse ses créations et Allegra a sûrement déjà croisé une vieille dame tremblante, une gamine rousse ou un homme noir sans savoir qu'il s'agissait de sa jumelle. Depuis qu'elle a quitté l'Autriche, Nine n'a pas repris une seule fois sa véritable identité, la laissant à Bianca dans sa grange. Nine a bien fermé le tiroir de son passé mais qui sait ce qui se passera si elle entend la chanson qui la maintenait en vie lors de son enfermement. Et si cela lui donnait envie de vivre ?

Les neuf ans accordés à sa sœur arrivent à leur fin et petit à petit, la frénésie s'empare de Nine. Elle est restée en vie pour ça alors chaque minute la rapprochant de son œuvre finale est la bienvenue. Et plus le temps passe, plus Nine grandit, laissant ça et là apparaître quelques failles dans le costume de Nina Smith. Elle se contrôle pour l'instant mais il n'en faudrait pas beaucoup pour qu'elle craque complètement et égorge sa sœur purement et simplement. Mais pour l'instant elle prend son mal en patience. Voir sa sœur tous les jours fait monter la tension et elle commence à s'agacer de Nina Smith. Et si elle la tuait pour poursuivre Allegra sous une autre identité ? Et si elle montrait Marlene à Keith ? Et si elle tuait Allegra pour prendre sa place ? Tant de possibilités...

Petit à petit, les idéaux de l'Académie Weins commencent à prendre place dans le cerveau perturbé de Nine. Le traitement fait effet et si Nine veut mener à bien sa vengeance, elle va devoir accélérer la cadence... N'en déplaise à sa sœur...





YOU & YOURSELF
Mais qui donc se cache sous le masque ?



Ton p'tit nom/pseudo : Maïlys What a Face
Ton âge : 23 ans !
Un ou plusieurs comptes sur le forum ? Nine c'est mon deuxième hihi
Comment as-tu connu le forum ? Je l'ai créééééé
Et comment tu le trouves ? TROP CANON !
Quelque chose à ajouter ? Je suis très objective !

Merci à toi, nous te souhaitons la bienvenue sur Weins ~ Le staff reste à ta disposition si tu rencontres le moindre problème. Souviens toi, tu disposes d'une semaine pour remplir ton dossier ; s'il te faut plus de temps n'oublie pas de le signaler. A très bientôt ♫




http://Weins-Academie.forumgratuit.org

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