Rebecca Dawson
AVATAR : Emma Watson
DC : Hope Wellington
CRÉDITS : Even
MESSAGES : 4
Date d'inscription : 14/08/2017
CASIER JUDICIAIREÂGE: 19 ansCAMP: Adhérant au GouvernementJE SUIS: dans l'élite, le gouvernement croit en moi
| Sujet: Rebecca Dawson - One man, one nation Dim 19 Nov - 21:36 | |
| Rebecca Dawson « La guerre, c’est la paix, la liberté c’est l’esclavage, l’ignorance c’est la force. »▬ George Orwell |
identité NOM : Dawson PRÉNOM(S) : Rebecca DATE DE NAISSANCE : 29 août 2081 À : Près d'Odessa, au Texas. ÂGE : 19 ans NATIONALITÉ : Américaine ANNÉE D’ÉTUDE : 5ème année SIGNE PARTICULIER : Gordon ► Inventé ► Emma Watson ► Platine et cheerleading Crédits : White Rabbit (icons) || Ems (avatar) |
HISTOIRE « ll y a deux histoires : l'histoire officielle, menteuse, puis l'histoire secrète, où sont les véritables causes des événements. »— Balzac. Avant Weins L'histoire de Rebecca se résume à cette phrase : une adolescente perdue dans ses pulsions de morts a été sauvée par la première chose qui pouvait en faire une fanatique. Et cette chose s'appelle Gordon. Elle est née au Texas. La Troisième Guerre Mondiale avait ramené l'état un siècle en arrière. La petite a grandi dans un État sauvage où on restait vieux-jeu sur pas mal de trucs : les femmes, la religion, les duels, l'honneur et ainsi de suite. Sans surprise elle apprend à se servir d'une arme à feu en bas âge. Une telle connaissance fera d'elle une candidate de choix pour la police secrète plus tard. La famille Dawson se composait d'un père, d'une mère et de trois enfants. Rebecca se retrouvait petite dernière. Elle aimait tendrement sa famille : il faut dire qu'ils formaient l'essentiel de son cercle social. Explication : l'enfant a reçu une éducation à la maison destinée à la gestion d'une petite ferme. Elle a mis le pied à l'école deux fois et pour quelques mois. Ce qui restait d'école fonctionnait mal et le père accordait peu de valeurs à ces choses-là, d'autant que ça faisait perdre du temps. Pas de camarades de classe, alors. Puis, se trouvait près du ranch quelques voisins mais Rebecca préférait se terrer dans son nids. Les autres, ça fait peur. Le reste de son enfance comporte peu de mots : sa vie à la campagne se composait de cycles, de routines et de labeur. Lorsque papa Dawson s'est éteint en 2095, la grande-soeur s'était déjà établie chez son nouvel époux. Le grand-frère avait quitté le ranch pour travailler en ville. Par conséquent, mère et fille ne pouvaient plus s'occuper du domaine. Au revoir maison prévisible texane, bonjour sombre inconnu civilisé. La mère roulait du sud au nord. Elle cherchait un futur pour sa fille. Les tripes à la main elle se rendit à l'académie Weins pour y présenter son bébé. Elle vantait les mérites de son enfant avec plus de conviction qu'un acteur bien payé pour une publicité de brosse-à-dent. Elle est disciplinée et très intelligente ma Rebecca ! Vous auriez dû la voir quand elle savait lire à l'âge de quatre ans et toute sa jeunesse elle a été super bonne à notre petite ferme familiale... À l'école ? Ahaha... En fait où on vivait c'était difficile m'voyez mais bon ma petite Rebecca elle apprend super vite ! Elle a appris à s'occuper des poulets avant ses grand-frères et sœurs. Puis, elle est bien élevée, elle ne sait jamais disputer avec son père – que Dieu bénisse son âme – et il pouvait avoir tout un caractère ce sacré Franck ! C'est vraiment une bonne fille Rebecca... Je ne peux pas en être plus fière et je l'aime, c'est pour ça que j'aimerais que votre école la prenne... Bah on m'a dit que Weins prenait toutes sortes de jeunes et qu'ils en faisaient les meilleurs citoyens possibles... Je veux dire, ma Rebecca n'a pas grand-chose à faire avec moi dorénavant mais elle peut devenir bien plus, j'en suis sûre...Une fille influençable de la campagne avec zéro repaire, en voilà du pain béni pour la propagande ! Pendant Weins Brillante ou pas, Rebecca morflait. Elle ne réussissait qu'à encaisser les mauvaises notes et la solitude et encore... Une tentative de suicide, tu parles d'une adaptation. Elle tentait de se couper les veines. Après ça, inutile de voir le lavabo ruisselant des perles de sang ou les cicatrices morbides de la pauvre adolescente pour se rendre de sa détresse. Des yeux fatigués, un teint pâle et une posture de mort-vivante. Rebecca se transformait en une ombre. Son nouvel environnement la frappait si fort qu'elle ne saurait dire si cette ombre était d'elle-même. Après tout, que restait-il de son ancienne vie ? Sa famille est partie, elle se retrouve dans une marée d'inconnus parlant avec des accents bizarres. En classe on lui demande des trucs qui ont autant de secret que des sombres kanjis. Je sais traire une vache et prendre les œufs des poules, pense-t-elle mais à quoi sert cela quand on lui parle d'histoire ? Que devient-elle au fond ? Weins, New-York, ce n'est pas sa vie, la vraie vie des chaudes journées texanes. Tout ça la rendait mûre pour le fanatisme qu'on connaîtra... Une main tendue, il ne fallait rien de plus pour que la pauvre Rebecca revienne vers la lumière. Et puis que dire... un miracle survint ?! Avec la bénédiction du gouvernement, tout allait mieux : la vie reprenait de belles couleurs, les gens souriaient et tout devint plus clair. En se laissant bercer par les confortables bras de Micheal Gordon, elle trouvait le bonheur qui lui permettait d'avancer. Ainsi, elle creusa... montait davantage vers l'excellence. Sa mère ne disait pas de conneries : elle est disciplinée la petite, en plus d'avoir un goût prononcé pour l'ordre. Il faut juste lui montrer la voie. L'unique voie. Depuis qu'elle a vendue son âme, on lui a tout donné : une place chez les cheerleaders, une éducation d'élite, une belle référence à la sortie de l'école, une nouvelle famille (les Platines) et le plus beau des amours en la personne de Cookie. Que vaut la liberté face à cela ? Rien du tout. La fusillade – comment l'oublier – a renforcé Rebecca dans son dévouement pour Gordon. Plus encore : cet événement l'a motivé devenir plus active à Weins. Elle s'incruste un peu partout et y fait un travail de Platine plus que poussé. À force, elle a retenu l'attention de la fameuse Police Secrète : son existence est un débat, pourtant elle est si efficace. Rebecca reste en phase de test mais étant donné l'enthousiasme inquiétant qui l'anime... CARACTÈRE « Un homme de caractère n'a pas bon caractère. »— Jules Renard.
Elle vit d'amour et de propagande.
L'amour vient de son entourage, des gens qu'elle cherche à défendre. Elle aime ses camarades Platines comme sa famille (ou sa nouvelle famille devrions-nous dire). On ne peut lui reprocher de ne pas mettre du cœur à l'ouvrage car tout ce qu'elle entreprend, elle le fait avec une motivation de fer. Elle se donne toute entière au travail peu importe sa forme et la quantité. Elle se dépasse à chaque effort qu'elle fournit. L'excellence dont elle cherche à être la parfaite incarnation lui donne bien des honneurs à l'académie. Néanmoins, sa tête gonfle à peine et ce pour une raison très simple : elle cherche la reconnaissance plus que le pouvoir sur les autres. L'affirmation peut sembler surprenante à tous individus ayant observés le plaisir - presque malin - qu'a Rebecca à corriger les brebis galeuses. Néanmoins, croyez-moi : elle veut l'approbation de ses pairs avant tout. L'académie Weins reste un formidable environnement car elle s'y conforme si bien que peu de malheureux entrent en confrontation avec elle. Si cela arrive, Rebecca sait qu'elle peut compter sur l'appuie de l'autorité légitime. En d'autres cas, il s'agit d'une fausse opposition (exemple typique : Gordon est-il magnifique ou merveilleux ?).
La propagande, elle, tire son origine du lavage de cerveau. On a pris sa cervelle, on a frottée, nettoyée et polie avant de refermer le crâne. Toutes idées nocives ont été éliminées pour n'y garder que des qualités appréciables pour une dictature (volontaire, dévouée, travailleuse...). Ceci étant dit, parlons de toutes les saletés que cela a causé. Rebecca ne pense plus par elle-même : l'originalité en souffre avec tout ce qu'elle cite. On lui dit quoi faire, elle obéit. Elle respecte les règles à la lettre. De plus, elle a reçu un joli cadeau du gouvernement nommé l'intolérance. Pour atteindre la perfection – un autre concept cher à ses yeux – on doit tous penser pareil. Les divergences causent le chaos : cela nuit donc à l'ordre, seul rempart contre la barbarie humaine. Voilà sa philosophie. Elle voit la pente glissante entre refuser d'aller à un cours et l'implosion des États-Unis d'Amérique. Ne cherchez pas, Rebecca est une maniaque de la dernière heure. Si un lien doit s'établir entre la manière dont vous portez votre nouveau veston et une présumée appartenance à la Résistance, elle le fera, soyez-en certain.
Au final, qui est Rebecca Dawson ? Une belle machine à qui l'excellence tient une place trop importante. De là à parler d'un robot à tisser les fines toiles de la perfection, il n'y a qu'un pas. Elle sourit beaucoup, aussi. Elle exhibe ses belles dents blanches comme pour donner un air de tout va bien tandis que ses yeux, eux, décèlent un manque, une chose qu'on lui aurait arraché, perdue à jamais, impossible à restaurer. D'un œil extérieur, c'est un bien triste personnage qu'est cette petite Rebecca, la tête trouée et heureuse de l'être.
YOU & YOURSELF Mais qui donc se cache sous le masque ?Ton p'tit nom/pseudo : Lul Ton âge : Coquin Un ou plusieurs comptes sur le forum ? Deux, bientôt trois Comment as-tu connu le forum ? Tu sais quoi, je ne m'en souviens plus Et comment tu le trouves ? C'est là où j'ai tout appris, c'est littéralement mon monastère. Sinon, il est pas mal Quelque chose à ajouter ? Merci à toi, nous te souhaitons la bienvenue sur Weins ~ Le staff reste à ta disposition si tu rencontres le moindre problème. Souviens toi, tu disposes d'une semaine pour remplir ton dossier ; s'il te faut plus de temps n'oublie pas de le signaler. A très bientôt ♫
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