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♣ Chaque rencontre est une incarcération ▬ NINE/TRISTAN
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MessageSujet: ♣ Chaque rencontre est une incarcération ▬ NINE/TRISTAN ♣ Chaque rencontre est une incarcération ▬ NINE/TRISTAN Icon_minitime1Jeu 6 Juin - 2:05

Le soleil était à son zénith en ce début d’après midi, une légère brise sifflait dans l’air, rendant la température pourtant élevée, supportable. La végétation de l’Académie balançait au rythme des quelques coups de vent faisant voler les feuilles dans l’atmosphère pesante des terrains de sport. Le terrain de football américain,actuellement vide, abritait d’ordinaire les entraînements d’une clique de beaux parleurs exhibant leurs muscles, les cris des supporters et les chorégraphies endiablées des cheerleaders les jours de match. Il s’agissait là de quelques pompons dans les airs, d’un ou deux grands écarts et de quelques acrobaties dont la construction ferait pâlir un clown tant le manque d’équilibre était flagrant. Plus loin, le terrain de tennis était occupé par deux innocents premières années qui s’échangeaient frénétiquement la balle, le sourire aux lèvres. La piste d’athlétisme quant à elle, complètement ensoleillée, était vide. Qui voudrait courir sous cette chaleur écrasante ? De l’autre coté par contre, le terrain réservé au tir à l’arc était mi ombragé, les lignes de tir était à l’abri sous quelques arbres tandis que les blasons au loin était bien en vue sous les rayons du soleil. Le terrain était dégagé, personne n’y traînait à cette heure de la journée où tous les idiots préféraient suivre le cours de mathématiques. Tristan avait obtenu une dispense pour ce cours étant donné qu’il redoublait sa seconde année et qu’il avait déjà obtenu de bons résultats. C’était l’une des rares choses que l’Académie avait autorisé et il en était content. Fini les 6h de mathématiques hebdomadaires. Place au temps libre en solitaire, devant une cible, un arc dans la main. Oui, Tristan aimait le tir à l’arc. C’était l’un de ses rares passe-temps qu’il appréciait réellement. Cette discipline nécessitait concentration, agilité et précision. Tant de caractéristiques qu’il arrivait à développer dans son immense et éternelle solitude. Il aimait sentir la puissance de l’arc dans ses mains et la force que lui conférait l’objet. Il se sentait puissant, maître du terrain, en total contrôle des événements. Clairement à l’inverse de ce qu’il se passait réellement dans sa vie. Le seul parallélisme possible était que sa solitude face à la cible était comparable à son manque intérieur de toute attache, lui aussi était seul face à la cible que représentais l’amour des autres. Et il n’arrivait jamais à viser juste.

Tristan se dirigea vers la réserve près des cibles, ouvrit la porte grâce au digicode et à son empreinte rétinienne puis entra dans ce sanctuaire qui renfermait le matériel. Sur le mur en face de la porte trônaient les différents arcs disponibles, offrant leur poignée aux plus courageux. Tristan saisit celui qu’il avait l’habitude de prendre, en bois, sur l’étagère principale à droite. Il aimait ce contact avec cette matière ancestrale, rustique. De nos jours, dans une ville comme New York, plus rien n’était fait en bois, tout était fait en plastique indestructible dernière génération dont le toucher n’était pas agréable. Il préférait sentir l’écorce sous ses doigts et la fraîcheur du bois que l’on a pas touché depuis longtemps.
Dans le coin de la pièce, il saisit un carquois rempli de flèches et en vérifia le contenu : 12 flèches au total, avec pointes métalliques. Parfaitement ce dont il avait besoin. Il mit le carquois sur son épaule puis pris soin de bien verrouiller la réserve en refermant la porte derrière lui d’un coup sec. Si le moindre vol était commis, si le matériel était abîmé, c’est sa responsabilité qui serait mis en cause, c’est lui qui a permis la dernière ouverture de la porte, et le personnel de Weins était parfaitement en mesure de le prouver grâce au système d’empreinte rétinienne.
Il se dirigea vers la ligne de tir lorsqu’il vit arriver à quelques mètres de lui une grande demoiselle, ses cheveux noir encre virevoltant dans son dos sous les à-coups du vent, la démarche vive et assurée. Elle passa devant sans lui prêter la moindre attention et rejoignit à son tour la réserve de matériel. Il avait déjà aperçu cette fille auparavant dans quelques uns de ses entraînements mais ils n’avaient guère échanger plus qu’un simple « bonjour » et encore, cela arrivait quand la bonne humeur de la jeune fille était combinée à la bonne humeur de Tristan, autant dire que le combo était rare.
Il prit place en position de tir, faisant abstraction des bruits qui se dégageaient au loin en provenance de la réserve - si elle avait cassé quoi que ce soit, elle allait en entendre parler par le directeur la pauvrette. Il saisit une première flèche dans son carquois et la positionna minutieusement. Il banda l’arc d’une main déterminée, son bras droit tendu et son bras gauche replié près de son visage. Il prit une profonde inspiration et se concentra sur la cible au loin. Il tenta d’oublier un instant ses petits et gros tracas pour ne visualiser que le minuscule cercle rouge et quand il n’eu plus que la cible en tête il décocha la flèche avec une vitesse impressionnante. Cette dernière se logea dans la seconde zone, en périphérie du cercle central. Le tir parfait ce n’était encore une fois pas pour aujourd’hui. Tant pis, Tristan persévérerait. Il savait se montrer patient parfois.

Il s’apprêtait à prendre une seconde flèche lorsque la jeune demoiselle sortit de la réserve, un arc et un carquois à la main. Elle rejoignit rapidement elle aussi la ligne de tir et commença à s’installer. Il se demanda lequel des deux briserait en premier ce silence dans lequel régnait simplement un léger vent. Il la dévisagea quelques instants, tentant de se rappeler de son prénom mais sa mémoire refusait d’obtempérer. C’était un prénom peu courant d’après ces souvenirs et court, quelque chose comme Nina, Mila ou peut-être même Mélie. Il décocha une seconde flèche qui atterri dans la zone 2 avant de se décider à parler. Peut-être que l’atmosphère détendue d’une première rencontre lui permettrait de mieux atteindre son but – à savoir à l’instant précis, la cible à l’autre bout du terrain.

« Salut. Ça faisait un moment que je ne t’avais pas revu ici. »

Cela faisait bien des mois que lorsqu’il venait s’entraîner il était complètement seul. La fille aux cheveux noir de jais s’était fait rare ces derniers temps et bien qu’il appréciait grandement la solitude, un peu de compagnie ne lui ferait pas de mal.

« Je t’avoue que je ne me rappelle pas de ton prénom... Nina peut-être ? »

Le visage de la jeune fille se crispa lorsqu’il prononça ses mots. Il s’était visiblement trompé de prénom, sa mémoire lui avait fait défaut encore une fois. Il n’était pas très fort à ce petit jeu là, il était tout juste bon à retenir son propre nom et sa date de naissance à quelques exceptions près. Il tenta de se rattraper aussitôt.

« Non ce n’est pas ça. Mila alors ? Moi c’est Tristan, mais tu dois déjà le savoir vu le nombre de fois où le coach me crie dessus lors des entraînements en salle. »

Nine
Nine
Nine "Nina" Smith-Werthem
Informations
AVATAR : Taylor Warren

ANNÉE D'ÉTUDE : 2ème année

DC : Calypso R. Storm (à privilégier pour les MPs), Samson Hugher, James Miller, Harmony Chanteloup

DISPONIBILITÉ RP :
  • Disponible


COMMENTAIRES : Tic tac tic tac. Les mois passent, me rapprochant de ma douce vengeance. Tic tac. J'arrive.
CRÉDITS : m.bjs

MESSAGES : 77

Date d'inscription : 15/07/2011

CASIER JUDICIAIRE
ÂGE: 18 ans
CAMP: Sans idées fixes
JE SUIS: un incertain, je peux basculer d'un côté comme de l'autre


MessageSujet: Re: ♣ Chaque rencontre est une incarcération ▬ NINE/TRISTAN ♣ Chaque rencontre est une incarcération ▬ NINE/TRISTAN Icon_minitime1Mer 12 Juin - 17:39

Le jour venait de se lever lorsque Nine ouvrit les yeux. Ses pupilles noires parcoururent les murs décharnés de la pièce qu'elle occupait dans le Quartier Sud. Elle ne payait pas de loyer puisqu'elle avait purement et simplement assassiné les ''propriétaires'' de l'endroit et combien même elle ne les auraient pas tués, il aurait été absolument hors de question qu'elle paye pour ce trou minable. La pièce n'avait même plus de papier peint convenable et le sol était en béton dur et froid. La porte ne fermait pas bien et la poignée menaçait de tomber à chaque fois qu'on la touchait. Nine avait récupéré un matelas dans un hôtel et elle dormait donc dessus, à même le sol. Cela ne la gênait pas plus que ça puisque en comparaison de ce qu'elle avait vécu dans sa jeunesse, c'était du grand luxe. Mais ce qui l'énervait grandement ce n'était pas l'eau qui goûtait dans le coin ouest, ce n'était pas les bruits douteux s'échappant de la cour, non, c'était le fait de se dire qu'en ce moment-même sa connasse de sœur était en train de dormir dans un lit moelleux et que sous ses draps en satin, elle ne se posait même pas de questions sur sa sœur qu'elle avait abandonné en Europe. Dans son petit cocon luxueux, Allegra ne se préoccupait même pas de ce que devenait sa jumelle. Allongée sur son matelas de fortune, Nine étendit les bras vers le plafond et imagina avoir sa sœur en face d'elle. Ses mains se crispèrent autour d'un cou imaginaire et d'un mouvement brusque et parfaitement calculé, ils brisèrent le cou imaginaire de Hypathie Allegra Lockhart. Les lèvres de la brune s'étirèrent en rictus malsain et sadique. Quel plaisir ce serait que de voir la petite blonde parfaite mourir des mains de la brune imparfaite. Quelle sensation agréable ce serait de sentir la blonde mourir de peur et tenter de la supplier. Quelle joie ce serait de voir la vie quitter les yeux répugnants de la blonde alors que son corps se viderait peu à peu de ses forces. Nine avait hâte mais Nine était intelligente : si elle voulait éliminer sa jumelle de la meilleure façon, il allait falloir qu'elle attende le bon moment. La tuer bêtement dans la rue n'apporterait ni joie ni réconfort, non : il fallait qu'elle la fréquente, qu'elle l'observe, qu'elle la traque. Elle devait la prendre par surprise, il ne fallait pas que Hypathie se doute de quoi que ce soit. Nine devait l'observer de loin et la regarder tourner la tête pour tenter de voir venir la brune. Mais elle ne la verrait pas venir. Jamais. Nine était une tueuse et elle n'allait pas se laisser découvrir sans l'avoir voulu. Elle observerait la blonde, se jouerait d'elle, l'approcherait sans se faire voir et puis elle apparaitrait devant elle et se délecterait de l'étonnement et de la peur qui se dessineraient dans les yeux de Hypathie Allegra Lockhart. Oh elle pouvait jouer la froide, l'intouchable ou l'imperturbable, Nine savait parfaitement que la blonde n'était pas insensible face à la mort. Et Nine était sa mort. Nine allait la tuer et Nine allait se délecter du cadavre. Elle rirait face au désespoir de sa sœur, elle rirait en la voyant comprendre qu'elle n'avait aucun moyen de s'échapper des griffes aiguisées de sa sœur. Nine se moquerait de l'air autrefois suffisant de la blonde lorsqu'elle la supplierait de l'épargner. Mais Nine ne l'épargnerait pas. Nine n'épargnait personne et encore moins celle qui l'avait abandonnée. Rancunière ? Si peu...


« C'était qui cette espèce de petite pute, là ?! »


Nine tourna la tête vers la fenêtre crasseuse qui ne fermait jamais tout à fait. Les voisins du dessus recommençaient à se hurler dessus, il était temps de se lever. Nine ignorait comment les deux adultes du dessus faisaient leur coup mais ils se disputaient toujours à la même heure et toujours pour la même raison. Ils devaient être tellement drogués qu'ils ne se rendaient même plus compte que cela faisait bientôt un mois qu'ils faisaient toujours les mêmes remarques, les mêmes crises et que la ''petite pute'' en question avait disparu de l'appartement depuis de longues semaines. Monde de dingues. La brune fit craquer ses articulations en se levant, enfila un jean et un tee-shirt noir. Elle quitta la chambre en enjambant les cadavres de ses anciens loueurs. Peut-être était-il temps qu'elle les change de place ? Ils commençaient à attirer les charognes... Nine leur shoota dedans et les deux corps roulèrent dans les escaliers, perdant ça-et-là des bouts de corps décomposés. Nine fit descendre le tout dans la rue et jeta ce qu'il restait dans une grande poubelle. Maintenant qu'elle sentait le cadavre, elle allait devoir faire quelque chose. Elle ne pouvait pas aller en cours comme ça... Elle entra dans une petite boutique miteuse où elle acheta de quoi s'habiller, elle entra par la porte arrière d'un vieil hôtel douteux et pris une douche. Elle sécha ses cheveux comme elle put puis se résigna à les attacher en une queue de cheval haute. Elle enfila ses nouveaux vêtements et vola le parfum de la cliente qui aurait dû se trouver dans la chambre où elle venait de se laver. Elle sauta par la fenêtre et disparu quelques minutes avant qu'une prostituée entre dans la pièce, découvre les vêtements sentant le cadavre et le vol de son parfum, se mette à hurler et file chez son maquereau, persuadée que c'était une technique d'intimidation.


Elle entra dans sa classe au moment-même où le cours allait démarrer. La matinée passa lentement et plus d'une fois Nine dut sourire aux gens de sa classe. Ici elle était Nina et Nina était une Zinc souriante et naïve. Elle était la gentille Zinc que Spencer-la-chieuse avait agressée sans raison, elle était la Zinc que l'on ne pouvait pas refuser comme amie. Elle était un mensonge mais personne ne pouvait le savoir. Personne. Lorsqu'elle eut fini de manger un sandwich pas trop mauvais tout en regardant d'un air moqueur deux Plombs se plaindre de leur plat de pâtes qui contenait plus d'huile que de pâtes en elles-mêmes. Elle quitta la cafétéria et se dirigea d'un air nonchalant sur les terrains extérieurs au gymnase où le club de tir à l'arc s'entrainait. Le complexe sportif était impressionnant par sa taille et par la technologie des équipements. En chemin elle croisa deux cheerladers qui revenaient d'un entrainement particulièrement éprouvant et deux joueuses de tennis qui, elles, se dirigeaient vers les terrains pour s'entrainer. Arrivée près de la réserve où se trouvait les équipements pour le tir-à-l'arc, Nine s'arrêta quelques secondes pour regarder les quelques cheerladers, des remplaçantes vu la tronche de leur pyramide, qui essayaient sans gros succès de s'entrainer par elles-mêmes. Une fois le test de l'iris passé, la porte s'ouvrir et Nine manqua de s'étaler lorsqu'elle trébucha sur des arcs tombés par terre. Elle pesta tant qu'elle pu et en balança trois contre le mur. Elle s'apprêtait à prendre son arc préféré lorsqu'elle vu son emplacement vide. Alors donc le ou la crétin-e qui avait laissé les arcs tomber par terre avait en plus pris SON arc ?! Tsss... Ça allait très mal se passer ! Nine prit un arc assez lourd et normalement fait pour les hommes. Puisqu'un individu douteux lui avait pris SON arc, eh bien elle allait lui mettre la misère en tirant juste avec un arc réputé difficile. Na ! Rancunière ? Non toujours pas !


La brune sortit de la réserve, ferma bien la porte et se dirigea vers l'endroit où les cibles étaient exposées. Elle vit un brun qu'elle connaissait de nom et de réputation. Il fallait dire qu'il n'arrêtait pas de se faire hurler dessus lors des entrainements. Un Plomb au nom aussi ennuyeux que son physique. Nine commença à s'installer près du brun et regarda la flèche de ce dernier s'enfoncer dans la zone 2. Minable... Elle prit une flèche, la plaça sur son arc et commença à tirer sur la corde lorsque le brun prit la parole :


« Salut. Ça faisait un moment que je ne t’avais pas revu ici. Je t’avoue que je ne me rappelle pas de ton prénom... Nina peut-être ? »

Le visage de Nine se crispa en l'entendant parler. Bon Dieu mais qu'il se ferme la bouche à coup de couteau où elle lui enfoncerait une flèche entre les deux yeux. L'arc était toujours tendu et Nine observait toujours la cible. L'arc était dur et il fallait avoir les bras plus que musclés pour le maintenir aussi longtemps dans cette position mais Nine avait tué des dizaines de personnes et après tout tenir cet arc tendu n'était pas plus difficile que d'enfoncer ses doigts dans les orbites de sa victime tout en lui brisant le cou. La flèche partit dans un sifflement strident et s'enfonça profondément en plein centre de la cible. Nine détendit ses bras et abaissa l'arc : il allait falloir qu'elle contrôle sa force.


« Non ce n’est pas ça. Mila alors ? Moi c’est Tristan, mais tu dois déjà le savoir vu le nombre de fois où le coach me crie dessus lors des entraînements en salle. »


Elle encocha une nouvelle flèche à son arc massif et se retint de ne pas tirer sur le brun qui ne semblait pas avoir compris que sa présence n'était pas tolérée. Mais Nine se força à sourire car ici elle était Nina et il était hors de question qu'elle tue quelqu'un, surtout si ce quelqu'un était aussi insignifiant que ce Tristan. Elle n'allait pas faire sauter sa couverture pour lui, non ! Nine se tourna donc vers le brun en souriant et si intérieurement ça pestait tant que ça pouvait, extérieurement elle ressemblait à Nina, la gentille Zinc un peu naïve.


« Désolée de ne pas t'avoir répondue mais j'étais concentrée et je n'avais pas envie que la flèche aille s'écraser derrière les cibles. » puis elle ajouta en faisant tourner une mèche de cheveux autour de son doigt « Moi c'est Nina, tu avais raison tout à l'heure ! »


Elle rit d'un petit rire gêné :


« Oh oui je te connais, tu ne passes pas inaperçu pendant les entrainements... »


Puis elle ajouta, comme si elle était effectivement trop naïve et trop gentille pour se rendre compte que ses propos pourraient être retenus contre elle :


« Je n'ai pas pu venir aux entrainements ces derniers temps car j'étais malade et puis j'ai dû travailler beaucoup pour pallier mon retard dans les cours... Mais c'est tellement agréable de pouvoir tirer de nouveau ! Le tir-à-l'arc m'avait tellement manqué ! J'adore cette sensation de calme et le fait de ne penser à rien d'autre qu'à la cible... »


Pas étonnant que Nine soit aussi bonne tireuse : penser à la cible et seulement à la cible, elle le faisait depuis toujours sauf que sa cible à elle était humaine et qu'elle s’appelait Hypathie Allegra Lockhart.

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