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Mais... Qu'est-ce que tu fous là ?! [Caly]
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MessageSujet: Mais... Qu'est-ce que tu fous là ?! [Caly] Mais... Qu'est-ce que tu fous là ?! [Caly] Icon_minitime1Dim 2 Oct - 11:56

Idiot. Imbécile. Bleu. Andouille. Nigaud. Con. Stupide. Se faire choper par un flic, comme un débutant, sérieusement... Pff... Attraper. Arrêter. Bref. Se faire prendre avec de la drogue sur soi, par un flic débile, incompétent au possible. Oui, parce qu'en plus, il fallait que je me fasse prendre par LE flic incapable de service, Samson machinchose. Qui avait l'air content comme un bienheureux, lors de sa prise... Qui devait être sa première, je pense à peine exagérer, au vu de son incroyable niveau d'imbécillité. Son cerveau complet devait être occupé par sa bêtise. A part peut-être un ou deux neurones, qui lui servent à être un minimum raisonnable, pour par exemple par se balader à poil en ville, et retrouver son chemin pour aller "bosser" à son lieu de travail. Dans lequel, malheureusement, je me trouve actuellement. Enfin, actuellement... Depuis deux jours pour être précis. Quel week-end magnifique j'ai passé! Car, bien sûr, il fallait que je me fasse serrer le vendredi soir, à la fin des cours. Et le vendredi, c'est le jour de la semaine où on fait le plus d'affaires, donc le jour où on a le plus de drogue sur soi pour faire le plus de profit possible. Et apparemment, les flics l'ont compris autant que moi... Ou alors cet imbécile d'agent se trouvait là par hasard. Oui, ça devait même plus être ça, vu son intelligence...

Toujours est-il qu'il a réussi à m'avoir. Et que ça fait deux jours que je croupis dans cette... Cellule? C'est ce qu'on appelle une cellule? On est limite mieux logé dans la rue... Même s'il y a moins de meubles. Enfin, des meubles... Un lit encastré dans le mur, fait en une espèce de pierre, de couleur indéfinie. Je parle de la couleur d'origine, hein. Parce que, l'actuelle, eh bien... Elle tire vers le noir, avec des tâches de marron et orange sale... Je n'ai même pas envie d'essayer d'imaginer d'où viennent ces tâches. De toute façon, en regardant l'état des toilettes, faut pas avoir beaucoup d'imagination pour tirer des conclusions, qui risquent fortement d'être vérifiées si on effectue une recherche un peu plus poussée... Ce que je ne me risquerait pas à faire. Rien que l'odeur lui soulevait le coeur. Après tout, toute la petite cellule était dans cet état. La plupart du temps, je me bornais à ne pas bouger, pour ne pas faire de mouvement d'air, et ainsi ne pas accentuer l'odeur. Mais quand j'y étais obligé, pour me soulager par exemple, je devais me boucher le nez. Et dans ce geste, je sentais la barbe naissante. Ce qui aurait pu être sexy, si l'odeur nauséabonde de cette cellule ne me collait pas à la peau... Car, bien sûr, en deux jours, aucun sortie, ni aucune toilette possible... Car non, je ne me laverai pas à l'évier mis à disposition. Non seulement la vasque était d'un gris douteux au lien d'un blanc normal, mais en plus l'eau qui en sortait était tout sauf transparente. Donc, oui, je préfère largement vivre dans la rue que vivre dans cette cellule miteuse.

Le problème, c'est que tous ces reproches restent à l'intérieur de ma tête. J'ai bien eu un grognement quand les flics m'ont enfermé là dedans, et que j'ai vu la tête du cachot. Mais depuis, plus rien. Je crois même qu'ils n'ont entendu ma voix que lors des quelques questions qu'ils m'ont posées. La raison? La crainte, tout simplement... Oh, mais pas pour le fait d'avoir été pris avec de la drogue, non. Bien sûr, cette partie m'ennuyait, j'allais devoir être encore plus discret à partir de maintenant. Non, ce que je craignais, c'était que les flics fassent le rapprochement entre le cadavre d'un homme défiguré au Japon et mon arrivée aux États-Unis peu de temps après... Quand on craint une telle chose, deux jours, soit 48 heures, paraissent une éternité. Éternité troublée de sursaut quand un flic crie qu'il a quelque chose. Et là, c'est le stress qui monte, de ce fait on transpire, ce qui nous fait puer presque plus que la cellule. Donc, après deux jours passés dans cet état, nul doute que je devais être loin d'être présentable, avec les cheveux - trop longs d'ailleurs, faudra que je pense à les faire couper - qui collent au front, emmélés au possible, la petite barbe répugnante, à mon goût, de deux jours, l'odeur infecte, due en grande partie à cette saleté de cellule... Non, vraiment, je crois n'être jamais tombé si bas... J'espérais juste très fortement qu'aucun élève de l'Académie ne ferait un tour par ici, il risquerait de me voir dans ce lamentable état... Ce qui était à exclure totalement.

Encore de l'agitation parmi les flics. Sauf que cette fois, ça devait être du lourd. Un grand silence s'est installé, à la place de l'habituel bourdonnement à filer mal au crâne. Puis, des râclements de chaise. De beaucoup de chaises. Même trop. Peut-être toutes? De nouveau le silence, interrompu seulement par le bruit des imprimantes. Impossible de résister, il fallait que je regarde, même si une lueur d'inquiétude était perceptible si on me regardait. Tous les flics debout, immobiles et silencieux. Regardant dans la même direction, soit l'entrée du commissariat. Où se tenait une grande blonde à l'air supérieur. Quoi? Calypso Storm chez les flics? Mais... Pourquoi? Pour le coup, je suis tellement étonné que je ne peux empêcher un murmure rauque de s'échapper.


- Mais qu'est ce qu'elle fait là...

Calypso
Calypso R. Storm
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COMMENTAIRES : Sachez mes chers que vous vous trouvez face à la Reine de l'Académie. Reine que vous devrez acclamer, admirer parce que j'ai été élue par tout le monde comme étant la plus belle de cette fichue Académie. Mais ne vous réjouissez pas : beauté ne veut pas dire stupidité...
Ça fait six ans que je suis réélue, et je compte bien continuer jusqu'à mon départ.
Je suis également la Dirigeante en chef du Quartier Nord et je peux vous faire décapiter d'un simple claquement de doigt. Je suis également une prostituée de luxe et mes clients me sont entièrement dévoués alors dis un seul truc de travers sur moi et j't'envois en prison jusqu'à la fin de ta vie !

Allez sans rancune : je suis magnifique et intelligente, t'es rien face à moi !


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JE SUIS: un incertain, je peux basculer d'un côté comme de l'autre


MessageSujet: Re: Mais... Qu'est-ce que tu fous là ?! [Caly] Mais... Qu'est-ce que tu fous là ?! [Caly] Icon_minitime1Dim 9 Oct - 17:07

Le jour venait tout juste de se lever lorsque Calypso Ruby Storm se décida à partir faire un tour dehors. Elle enfila un survêtement noir et mit ses chaussures de sport. Elle ferma la porte de son appartement et sortit dehors d'un pas alerte. Inspirant un grand coup l'air du Quartier Nord, Calypso se mit à courir. Elle saluait des amis à elle, des habitants du Nord et tapait la discute avec les dealers des frontières. La blonde essayait de courir au moins deux heures par semaine mais généralement, elle ne tenait qu'une demi-heure. Loin de s'apitoyer sur son sort, elle se faisait la réflexion que, après tout, elle faisait beaucoup plus de sport qu'une fille normale : eh oui, le sexe c'est du sport. Elle était donc en train de courir lorsqu'elle se retrouva nez-à-nez avec un géant à la figure couverte de cicatrices. Le temps que l'information vienne au cerveau en surchauffe de Calypso, elle avait déjà les fesses par terre. Grommelant une injure quelconque, elle se releva en se faisant la promesse de ne regarder plus en l'air en courant. Non mais franchement...
Le géant la regarda d'un air étrange, qu'elle interpréta comme de la perplexité. La Reine le toisa d'un air hautain et lui fit remarquer que ça arrivait à tout le monde de tomber. Ce à quoi il n'osa rien répondre, heureusement pour lui. Après ces quelques banalités échangées, Calypso repartit en courant pendant que le géant la regardait partir en souriant. Décidément, la Reine du Quartier Nord était bien imprévisible...
La blonde courait toujours lorsqu'elle croisa le chemin d'une mère de famille qu'elle connaissait bien car ça avait été une des premières à venir la remercier lorsqu'elle avait fermé le Quartier. Elles discutèrent de tout et de rien puis finalement, la femme demanda à Calypso l'autorisation d'inviter sa famille pendant un week-end, ce que la Reine accepta évidemment. Au bout d'une heure de course, Calypso décida qu'elle en avait assez de courir et qu'il était temps qu'elle fasse vraiment quelque chose de sa journée. Rentrant dans l'appartement, elle fit quelques étirements, juste pour le principe, puis fila sous la douche. Elle en sortit quelques minutes plus tard en soupirant : son portable venait de sonner. Elle décrocha et écouta l'individu lui parler :

- « Caly, j'ai un gros problème ! J'suis au commissariat, ces espèces de crétins m'ont enfermés alors que pour une fois j'avais rien fait. Tu peux venir me chercher ? »

La Reine soupira et confirma sa venue à l'individu paniqué qui venait de l'appeler. Elle retourna sous la douche et en sortit cette fois, une demi-heure plus tard. Elle était maquillée, parfumée et portait une robe rouge courte et aguichante. N'importe quel être humain de sexe masculin normalement constitué ne pourrait pas se permettre de ne pas la regarder. Elle était diaboliquement sexy et elle s'en rendait bien compte. Chaussant des hauts talons rouges, elle coiffa ses cheveux et fit boucler quelques mèches afin de lui donner un air candide. L'assemblage sexy + candide faisait généralement péter les plombs aux hommes. Et si ça ne suffisait pas, il suffirait de descendre le décolleté et puis voilà !
Elle s'assit sur son canapé et se mit du verni à ongles rouge sur les ongles de mains et attendit quelques secondes que le produit sèche. Elle mit du rouge-à-lèvre puis vérifia une dernière fois sa tenue, qu'elle jugea parfaite, et quitta son appartement. La Reine quitta le Quartier Nord en chantonnant puis arriva devant le commissariat quelques minutes plus tard. Elle était en pleine forme et faire sortir quelqu'un de prison ne devrait pas lui prendre plus de quelques minutes.
Entrant dans le commissariat, elle ressentit encore une fois le plaisir de voir tant d'hommes la regarder avec envie et respect. Sans qu'elle n'ait besoin de faire le moindre geste, les policiers présents se levèrent tous, faisant tomber leurs chaises pour certain, et ils la regardèrent avec ce genre de regard que seul le mâle était capable de faire : le regard où se mêlait incompréhension, désir, respect tout en sachant qu'ils ne pourraient jamais avoir la Reine entre leurs jambes. Faisant un pas en avant, Calypso sentit la tension changer brutalement dans la pièce : il n'y avait plus que du désir, du désir contenu mais palpable. Tout en faisant claquer ses talons sur le sol, Calypso ricana intérieurement en pensant à tout ces hommes incapables de bouger d'un centimètre sous peine de se jeter sur elle. Elle s'avança devant le commissaire, l'homme le plus haut gradé de ce lieu de perdition. Elle prit la chaise sur lequel il avait posé ses fesses avant de se lever, et tout en frôlant le corps du policier, s'assit dessus.

- « Vous seriez des amours si vous pouviez faire sortir le mec à la peau mate tout au fond... »

Ca n'aurait sans doute pas marché avec une autre personne, mais Calypso n'était pas n'importe qui. A peine eut-elle terminée sa phrase que trois policiers commençaient à bouger. Ils attendaient l'ordre du commissaire qui était, d'ailleurs, bien trop occupé à regarder le décolleté de Calypso pour se rendre compte de ce qu'elle avait demandé. La Reine se releva sensuellement et posa un seul doigt sous le menton du commissaire.

- « Tu serais adorable si tu le faisais... »

Le commissaire déglutit difficilement et dit d'une voix haut perchée qu'il essayait de maîtriser :

- « Faites le sortir ! »

Il avait beaucoup de mal à ne pas se jeter sur Calypso et celle-ci n'avait pas l'air décidée à bouger. Elle attendit face à lui que le garçon à la peau mate qui était dernièrement dans une cellule ne sorte. Une fois le mec du Quartier Nord dehors, Calypso s'écarta du commissaire qui se laissa tomber brutalement sur sa chaise, épuisé comme après un ébat sexuel particulièrement éprouvant. Elle tourna la tête et ses yeux glaciaux croisèrent ceux de Naoki. Elle planta son regard dans le sien comme Aaron aurait planté une balle dans la tête de quelqu'un : sans sourciller.
Elle avait entendu l'asiatique parler mais n'avait pas réagit pour ne pas faire rater sa tactique de sortie. La technique ultime pour faire sortir un homme de prison, c'était de ne surtout pas lâcher des yeux les policiers. Si tu les lâches des yeux un court instant, ils ont le temps de remettre leurs idées au clair. Si tu ne les lâches pas : ils n'arrivent pas à contrôler leur désir...
La Reine se déplaça jusqu'à la cellule où se trouvait Naoki tout en se déhanchant de telle façon que les policiers n'osaient pas regarder ailleurs. Naoki ne ressemblait à rien, disons le franchement. il avait des débuts de barbe naissante et puait la transpiration et l'urine. Quoique l'urine devait venir de la cellule en elle-même. Le regardant de haut en bas d'un air narquois, Calypso ricana :

- « Alors Naoki, on a voulu sauver le monde et on s'est trompé de cible ? Ou alors c'est ta nouvelle maison ? »

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MessageSujet: Re: Mais... Qu'est-ce que tu fous là ?! [Caly] Mais... Qu'est-ce que tu fous là ?! [Caly] Icon_minitime1Ven 21 Oct - 16:36

Une allumeuse. Si je ne connaissais pas Calypso Storm, j'aurais cru que ce n'était qu'une simple allumeuse qui est entré dans ce commissariat, à chauffer tous les flics d'un coup d'un seul. En même temps, rien qu'avec sa tenue, elle aurait pu leur faire faire ce qu'elle voulait, même si ça allait à l'encontre de leur ethique. Mais qu'en plus elle roule du cul exprès, et qu'elle se penche vers le commissaire pour bien montrer son décolleté à tout le monde, là... Ils lui mangeaient tous dans le creux de la main. Si bien qu'ils ont libéré le mec arrivé à peine deux heures plus tôt, sans poser de question. Il avait donc appelé la Reine pour qu'elle vienne à son secours... Pff... Aucune dignité. Compter sur quelqu'un, surtout sur une femme, pour se sortir des embrouilles... Les gens n'ont plus aucune valeur morale, de nos jours. A moins que ce soit propre aux Américains... Ou juste que nous, Japonais, avons plus de "morale" qu'eux... Ou alors, ce mec n'est qu'une merde, rien de plus. Mais bon, que Calypso elle-même vienne libérer une merde... Hum... Ça paraît peu probable, même si le gars est un habitant du Quartier Nord.
N'empêche que les flics se sont fait avoir. Ils ont relâché le mec à la peau mate sans rien demander. Bien joué, Calypso... Si j'avais pas été crevé et limite terrorisé, j'aurai bien souri, mais là... Non. Parce que justement, la fatigue était bien là, sans parler de la peur. Mais surtout, ne pas le montrer, car on devient alors une proie plus que facile pour n'importe qui...

Le fameux mec dehors, le commissaire s'affale sur une chaise, comme épuisé, et voilà la Reine qui se tourne. Croisement de regards. Du mien, qui tente de cacher la peur que j'ai des flics et d'être ici, et qui affiche depuis l'entrée de Calypso de l'incompréhension : pourquoi se déplacer pour un simple gars? M'enfin... Le deuxième regard est celui de Calypso. Et il est distant, froid. Même plus. Glacial. Comme aux pôles lors de l'ère glaciaire. Ce regard n'a absolument rien à voir avec ceux qu'elle a pu m'adresser la dernière fois qu'on s'est vus, au bar. Enfin, la dernière fois qu'on s'est croisés, AVANT que le sujet de la... prostitution... ne vienne sur le tapis. Car c'est là que tout a basculé, lors de cette soirée. Lorsque ce sujet précis a été abordé. Avant ça, l'ambiance était bon enfant, même amicale. Je pensais alors qu'on pourrait tisser des liens, elle et moi. Mais, si e veux que ça arrive, il va falloir que je me calme, si jamais elle aborde ce sujet...

La voilà qui arrive, qui se dirige vers moi en se déhanchant. Tout le monde la regarde, bien sûr... Comment les flics pourraient-ils regarder ailleurs, en même temps? Après tout, ils avaient son postérieur dansant sous les yeux... Alors que, tout ce que je voyais, c'était qu'elle me regardait maintenant, une lueur... Comme d'amusement dans le regard. Facile de deviner le pourquoi du comment : celui qui s'est "dressé" face à elle au sujet de son... métier... devait ressembler à une bonne grosse merde. Surtout dans ma position assise, elle étant debout. État d'infériorité. Qu'est-ce que je déteste ça...


- « Alors Naoki, on a voulu sauver le monde et on s'est trompé de cible ? Ou alors c'est ta nouvelle maison ? »

De l'humour, tiens... Enfin, de l'ironie. C'est drôle, mais je m'y attendais un peu, de sa part... Impossible de rester comme ça sans rien dire. Donc debout Nao, reste pas à l'état d'être inférieur, de soumis en quelque sorte. Même si tu ressembles à rien, lève toi et mets tes mains dans les poches, pour pas montrer qu'elles tremblent un peu sous l'effet de la peur. Et puis, tant qu'à faire, essaie de coller un faux sourire sur tes lèvres... Même si ça risque de pas passer.

-Ni l'un ni l'autre... Et, je t'ai déjà dit que j'ai pas l'intention de sauver le monde. Juste... Essayer d'aider certaines personnes, c'est tout. Et puis, comme maison, j'ai déjà connu plus accueillant. Tu veux visiter? ... Il me semble qu'ils ont oublié de me relâcher, mais bon... On fait avec, hein! Et toi, qu'est-ce que tu fais ici? Tu libères des "sbires"?

Garde ton sourire Nao, ou elle va te pourrir. Même si je sais pertinemment qu'elle va voir qu'il est faux, et que j'ai peur de comment va tourner la situation, dans commissariat...


Calypso
Calypso R. Storm
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Ça fait six ans que je suis réélue, et je compte bien continuer jusqu'à mon départ.
Je suis également la Dirigeante en chef du Quartier Nord et je peux vous faire décapiter d'un simple claquement de doigt. Je suis également une prostituée de luxe et mes clients me sont entièrement dévoués alors dis un seul truc de travers sur moi et j't'envois en prison jusqu'à la fin de ta vie !

Allez sans rancune : je suis magnifique et intelligente, t'es rien face à moi !


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MessageSujet: Re: Mais... Qu'est-ce que tu fous là ?! [Caly] Mais... Qu'est-ce que tu fous là ?! [Caly] Icon_minitime1Jeu 17 Nov - 17:16

- « Ni l'un ni l'autre... Et, je t'ai déjà dit que j'ai pas l'intention de sauver le monde. Juste... Essayer d'aider certaines personnes, c'est tout. Et puis, comme maison, j'ai déjà connu plus accueillant. Tu veux visiter? ... Il me semble qu'ils ont oublié de me relâcher, mais bon... On fait avec, hein! Et toi, qu'est-ce que tu fais ici? Tu libères des "sbires"? »

Calypso le relooka lentement de bas en haut puis de haut en bas. Dans son regard on ne pouvait lire qu'une chose : la moquerie. Naoki Natureku était décidément encore plus stupide que ce qu'elle avait pensé au premier abord. Comme si elle n'avait pas vu qu'il avait mit ses mains dans ses poches un peu trop rapidement à son goût. Il s'était mit debout pour ne pas se trouver en position d'infériorité sans doute... Il n'avait donc pas compris que, qu'il soit debout ou assis, il resterait toujours en position d'infériorité ? Ce n'était qu'un pigeon parmi tant d'autre. Un boulet perdu dans l'immensité de la perversion de New-York. Un gamin ne comprenant rien à la vie. Oui, Naoki n'était rien dans la ville de New-York : la preuve en était que personne ne s'était bougé pour venir le faire sortir. Il se croyait toujours au Japon apparemment. Était-il sérieux lorsqu'il disait que les policiers avaient "oubliés de le sortir" ? Non parce que bon... Les policiers n'oubliaient rien, sauf leurs cerveaux, et s'ils l'avait laissé en cellule c'est bien parce qu'ils avaient autre chose à faire et, surtout, parce qu'ils espéraient qu'un crétin viendrait le chercher et payerait bonbon pour faire sortir ce couillon d'asiatique. Mais, pas de chance, Naoki ne servait à rien et du coup personne ne venait le chercher.

- « Non mon petit Naoki, je ne libère pas mes sbires : je viens chercher mes amis. Tu n'es pas au courant, mon pauvre ? Si personne ne vient te chercher, tu resteras pourrir en prison jusqu'à la fin de tes jours. »

Elle éclata de rire et ouvrit grand les bras, comme pour lui montrer l'étendu de la prison :

- « Bienvenue à New-York ! »

Les policiers avaient regardé dans sa direction lorsqu'elle avait rit. Ils s'aperçurent de la présence de Naoki derrière les barreaux et rirent eux aussi. Ils ne savaient sans doute pas pourquoi mais si la Reine riait c'est que ça devait être drôle, non ? La plupart avait dû comprendre qu'elle se foutait de la gueule de Naoki, après tout ces policiers n'étaient pas si stupides... Il ne fallait pas généraliser le cas de l'autre abruti de Samson Hughon ? Hugher ? Bref, le cas de l'autre abruti.
S'approchant de la grille de la cellule, son parfum traversa les narines de l'asiatique. Ça devait faire bien longtemps qu'il n'avait pas sentit d'autres odeurs que la transpiration ou le vomi. Calypso ricana intérieurement devant l'état déplorable de cette cellule. Les policiers lui avaient apparemment donné le gros lot... Généralement les cellules ressemblaient au moins à quelque chose mais là... quoiqu'on puisse trouver une petite ressemblance avec des toilettes après le passage d'une tribu de bourrés et de drogués.

- « Tu voudrais me faire visiter ? Tu aurais au moins pu avoir la décence de nettoyer avant de me proposer. »

Il voulait jouer ? Eh bien soit. Après tout Calypso était de l'autre côté des barreaux : elle pouvait partir quand elle le voulait et ça, elle ne manquerait pas de le faire remarquer à Naoki.
Calypso se retourna et demanda une chaise qu'on lui apporta rapidement. Elle s'assit donc en face de la grille, et donc de Naoki, et croisa les jambes : un spectacle qui n'aurait pas laissé insensible un homme normalement constitué. Se penchant en avant, Calypso mit ses mains sous son menton.

- « Raconte-moi tout, Natureku. Comment as-tu pu être encore plus stupide que ce que je pensais et te faire attraper et enfermer dans cette cellule de premier choix ? »

Ponctuant le tout d'un petit sourire ironique, Calypso regarda Naoki droit dans les yeux. Elle adorait cette situation : dominer.

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