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Jason Lecter ▬ The Death have a big smile ~
Jason
Jason Lecter
Jason Lecter
Informations
AVATAR : Heath Ledger - Joker

DC : Venecia

DISPONIBILITÉ RP :
  • Disponible


COMMENTAIRES : Fuck !
CRÉDITS : Moi même ~

MESSAGES : 701

Date d'inscription : 18/04/2012

CASIER JUDICIAIRE
ÂGE: Crise de la quarantaine ~
CAMP: Contre le Gouvernement
JE SUIS: un(e) new-yorkais(e) aux habitudes plus ou moins douteuses


MessageSujet: Jason Lecter ▬ The Death have a big smile ~ Jason Lecter ▬ The Death have a big smile ~ Icon_minitime1Lun 3 Déc - 11:39


LECTER JASON

« La raison du plus fou est toujours la meilleure. »
▬ Raymond Devos



identité

NOM : Lecter
PRÉNOM : Jason
DATE DE NAISSANCE : Il semble l'ignorer ...
À : New York semble-t-il
ÂGE : Entre 35 et 40 ans
NATIONALITÉ : Américaine
SIGNE PARTICULIER : Voyons, regardez bien vous n'avez même pas une petite idée ?

► Poste vacant ; Inventé
► Célébrité choisie : Heath Ledger - Joker
► Groupe : Citoyens

Crédits : © Jason (icons) || © Jason (avatar)



HISTOIRE

« ll y a deux histoires : l'histoire officielle, menteuse, puis l'histoire secrète,
où sont les véritables causes des événements. »

— Balzac.


« Mon histoire ? Par où commencer ? Ha oui, je suis né par une belle journée de printemps, il faisait très beau disait ma mère, mon père avait toujours le sourire en l'évoquant. C'était une gentille famille aux revenus moyens, dans une ravissante maison blanche. Elle était femme au foyer, lui policier. Je me souviens la balançoire dans le jardin, le parfum des fleurs que maman aimait tellement et papa, ah il passait des heures à lire sur la terrasse. Les volets étaient peints en vert, on l'avait fait tous ensemble et même, on avait renversé un bidon dans l'escalier du porche ! Ah on était tellement heureux ! … Non attendez vous m'avez cru là ? »

La vérité, c'est que Jason ne connait ni père ni mère. Ou il ne s'en souvient pas … on le découvre dans la rue, sale et affamé, à peine vêtu sous une pluie diluvienne. Il sait seulement son prénom qu'il épelle parfaitement, « Jason » comme s'il l'avait apprit par cœur. On ne sait pas vraiment lui donner d'âge … un enfant de six ans, plus ? Moins ? Difficile à dire. Il a l'esprit vif, il est intelligent mais pèche sur des choses plus simple telles que le partage, la politesse, les valeurs primordiales et basiques. Plus facile pour lui de tenir un fer à souder que de dire merci … De même, l'enfant est un paradoxe sur pattes et ça, le personnel de l'orphelinat le voit sans mal. Il sait jouer des heures avec le jeune chien monstrueux qui garde l'endroit mais repousse brusquement les autres, il les rabaisse, les blesse aussi. On comprend mal le dédale qu'est son esprit.
Dans ses heures calmes il annote les livres de la bibliothèque au feutre rouge, rayant des mots pour les changer, on le punit et plus c'est sévère plus il recommence. Alors on lui laisse quelques bouquins et on le laisse faire. Il est perturbé selon certains. Jason est un gosse à problème, on s'entend sur ce point et personne ne peut rien y faire.

Il doit avoir dix ans, il est mignon mais seulement d'apparence. Son sourire est adorable mais il cache les pires sournoiseries. Quant il brûle la robe d'une autre pensionnaire on s'affole, mais quand on le voit seul capable d'approcher les chats sauvages qui ont élus domicile à l'arrière de la bâtisse pour les nourrir on s'attendrit. Jason est bizarre … on le dit alors asocial.        

« J'étais un gentil garçon ! Si si, j'ai vite appris à lire et à compter, j'ai su bricoler des choses de mes mains, réparer, même coudre. Je promenais le chien tout les jours, je rangeais bien mes affaires, j'avais des amis. Avouons le je n'étais pas chiant du tout ! »

Plus ou moins … il aime se salir les mains c'est vrai, toujours dans les pieds des adultes à vouloir faire comme eux. Le jardinier finit par lui laisser le taille bordure, le mécano le laisse venir lorsqu'il bricole la vieille voiture et qu'il fait de la plomberie, qu'il change une prise électrique et l'une des bonne lui montre comment repriser des vêtements. Il a besoin de savoir, de faire des choses pendant que les autres jouent au foot. On se dit qu'il veut bien faire, pensez donc … Jason apprend pour le futur, il le fait parce qu'au fond il est conscient que tout ça lui servira. Il sort le gros chien au parc pour mieux le dresser, la bête mord plus d'une fois mais personne ne se plaindra car Jason précise bien que la prochaine fois ce sera pire si les rumeurs fusent. Et cette bête est peut-être son seul vrai compagnon à l'époque. Ce molosse, il l'aimait bien. Quant à ranger … non Jason ne range rien ! Il se retrouve dans un soigneux bordel organisé, fait de la place qu'on lui a donné quelques mètres carré à son image : déstructurés. Quant aux amis ; des pions plutôt. Ceux qu'il tyrannise, qu'il écrase et met à sa botte par la force comme par les mots.

Il fatigue, épuise son monde à courir de ça de là sans rendre de comptes et on a même plus la force de le contredire ou de le mettre à l'amende parce que ça l'amuse plus qu'autre chose en définitive. L'enfermer une heure c'est l'assurance qu'il tague la pièce entière, et s'il la repeint sagement ce sera pour recommencer en pire … On abdique, on l'occupe autrement et il gagne au final.

« Ado, j'ai appris de nouvelles choses ; tu vois … les femmes, les hommes, c'est pareil au final tant qu'on prend son pied. Mais ce n'était pas forcément le septième ciel. Faut le reconnaître, c'est juste pour passer le temps. D'ailleurs, l'adolescence c'est plutôt sympa, on te laisse plus de liberté, j'ai appris plein de nouveautés et on était fiers de moi ! »

L'âge con diront les adultes ; le sien n'était pas con mais prétexte à tout. Être curieux n'était pas condamnable selon Jason. Elle qui pleurait parce qu'il l'avait jeté après une nuit ... ce n'était quand même pas sa faute si elle l'avait confondu avec le prince charmant ! La directrice de l'orphelinat se lamente ; Jason ne sera pas un gentleman, il s'est déjà persuadé que les autres sont ses jouets. Il n'obéit pas ; jamais et s'il donne l'impression de baisser la tête c'est pour mieux songer à briser les jambes qu'il voit. Il évolue, vite, trop sans doute …

Un jour, à seize ans -on suppose cet âge- il fait le pas de trop selon les grands. Les autres aussi ont grandit, ils l'ont prit à part sur le toit. Jason a rit, à s'en décrocher la mâchoire et s'il a prit des coups personne n'a pu faire cesser sa voix coupée d'hilarité. Il a frappé, à l'aveugle mais fort, plus fort que les autres parce que lui n'avait pas peur de la suite, mais lui … ce gamin un peu plus vigoureux que les autres, il l'a jeté du toit. Il s'est brisé les deux jambes en bas et Jason, perché souriait de toutes ses dents au personnel qui le regardait d'en bas. L'évidence totale, il serait toujours plus haut que la pleb.

On le cloitre au dortoir, on attend la police mais quand elle arrive, Jason s'est envolé … sans laisser de traces. La chaine du molosse git au sol, l'animal est tout aussi absent. Le gamin est partit avec un cerbère et l'orphelinat ne les revit jamais …

« La rue ! Si tu savais comme c'est enrichissant la rue ! Oh t'as des jours avec et des jours sans mais dans l'ensemble c'est bénéfique. Un gars dans mon genre y trouve sa place en deux temps trois mouvements. J'ai eu des petits boulots, j'ai fait mon trou, j'ai eu mon chez moi, une copine. Oui j'étais sur le droit chemin des hommes ! »

Mais bien sûr ! Il vous dit ça, voyez son sourire sous le maquillage … un mensonge. Il savait déjà que l'argent fait le bonheur des autres, pas le sien cependant. Alors il se range dans la petite criminalité, il vole, il agresse, il manipule et tire les ficelles d'un gang entier. De loin, l'air de rien et il séduit la copine du chef. Elle aura tout fait pour lui, persuadée d'être importante à ses yeux mais personne ne l'est pour Jason. Il tue son patron après quelques années de « bons et loyaux services », prend la tête et on le suit pour éviter le même sort. On a comprit qu'il était mauvais comme la gale, une maladie n'aurait pas fait pire même pas la peste. La petite organisation prospère à pas de loup, discrètement car il n'est pas assez stupide pour envoyer au front une armée de crétins. Il envenime et gangrène les esprits, invite à la révolte, un sourire éternellement vissé aux lèvres lorsqu'il les regarde, la main gratouillant la tête du chien vieillissant.    

« Mon pauvre chien Lecter est mort … j'ai pleuré pendant des jours. C'était triste ! Je lui ai fait une belle tombe avec des fleurs et tout ce qu'il fallait. Ma petite amie m'a beaucoup soutenu, j'étais heureux de l'avoir à mes côtés. Mes amis étaient tous désolés pour moi. En fait, c'est bon d'être entouré quand tu te sens triste ; oui, ça fait … chaud au coeur ! »

Il n'a pas pleuré, ce n'est pas son genre le sentimentalisme mais il l'a senti passer ce vague à l'âme amer. La bête était tout ce qu'il avait, il l'avait choyé, réellement. Il lui a fait sa tombe lui même, à l'arrière de l'entrepôt où ils vivaient tous. Pas de fleurs non, juste des os de chez le boucher entourés d'un ruban brillant. Il lui en avait toujours prit, c'était plus parlant que les végétaux. On l'a crut anéanti, non, il a dit merci au cerbère, a promis de continuer l'aventure. Le temps file ; ils avancent. Il doit avoir dans les vingt cinq ans ...

« Tu veux savoir d'où viennent mes cicatrices ? Et bien ... »

Là, c'est un mystère. Il raconte ça, jamais de la même façon, cela dépend de qui entend l'histoire mais la suite est évidente. La fille qui l'avait suivie n'est plus, retrouvée baignant dans son sang dans la baignoire de « l'appartement » de Jason. L'a-t-il tué ? Sans aucun doute …
Il apparaît le visage entaillé et suturé par ses soins, sans souci de se réparer ou de se panser. C'est grossier, on pâlit en imaginant même qu'il s'est mutilé seul mais dans le gang personne ne pose de question. Il se maquille grossièrement, il ne pense pas à se cacher mais à se montrer enfin, il entre en scène.
Jason est là sous un visage de Joker riant aux éclats. Un clown de film d'épouvante qui dés lors marche sur les plats de bandes des plus faibles. Il veut il prend, il décide et fait dans un enchainement aussi vif que radicale et souffle dans toutes les oreilles les idées les plus promptes à déclencher un jour le chaos qu'il rêve de voir enfin. Jason a comprit que c'était là son seul plaisir, les  grands plans qui chahutent, qui bouleversent et plus l'échelle est grande plus il s'amuse. Il prouve sa tendance à prendre des risques et prend le pire en provoquant les hautes sphères, elle en particulier.

« Ma Reine, votre altesse, ta glorieuse majesté, votre seigneuriiiiiiiie ! Caly Caly Calypso Storm ! »      

A-t-il trouvé un jouet en la belle Calypso ? Bien sûr que non, il n'oserait pas la considérer ainsi. Il respecte cette fille qui a su faire son trou mais quant à la craindre … non, forcément non. On se demande s'il n'a pas volontairement cherché l'attention de la blonde pour être sûr de ne pas se la mettre à dos. Quoi que, elle ne l'aime pas visiblement mais si on en juge, ils sont capables de s'entendre ces deux là. Mis à part que la Reine veut l'ordre et J le désordre. Sur ça, ils ne sont pas d'accords mais qui sait avec le temps. Soyons réalistes cependant ; il ne veut pas l'utiliser parce qu'il la voit plus ou moins sur le même pied piédestal que lui et on utilise pas Jason. De fait, on utilise pas Calypso non plus. Mais l'avoir dans son sillage est plaisant, Jason ne dira pas le contraire. Il a finit par la trouver amusante, elle a assez d'esprit pour titiller le sien et pas question de cracher sur une si belle « amitié » … Les venues de cette fille on le don de le réjouir tout particulièrement, parce qu'il a la certitude de ne pas s'ennuyer pendant leurs conversations même si elles ne tombent pas souvent sur la même conclusion. Jason ne sait pas si Calypso le respecte mais il n'a pas cherché à le savoir non plus, ce qu'on pense de sa petite personne lui passe par dessus la tête. Dans tout les cas, il n'est jamais mécontent qu'elle vienne ; où de faire un déplacement quelconque pour la trouver.

« Bouscule l'ordre et tu verras, l'anarchie devient reine. Et l'anarchie c'est comme le chaos, à l'inverse des règles ; c'est impartial ! »

Selon Jason il faut détruire l'autorité et plus encore celle qu'exerce le gouvernement. Car il n'aime pas être bridé, il veut la liberté pour tout le monde mais surtout pour lui même. La révolte a un goût sucré pour J, il la veut violente et sans conteste. Renverser le monde pour le voir exploser c'est bien ça son idée. Alors il complote depuis le quartier Sud où il vit depuis tellement d'années dans le même entrepôt, où on le connait pour les plus mauvaises raisons. Jason a l'oeil rivé sur tout, insomniaque par excellence et il ne lâchera pas l'affaire.  

De sa main gantée il caresse la tête de deux nouveaux cerbères n'obéissant qu'à lui. Il a bien grandit Jason Lecter ; car oui maintenant son nom est complet, il l'a choisit et il n'en changera pas. Son regard dérive sur le sud et entrevoit les possibilités d'actions ailleurs. C'est une bonne idée ça … essayer de grappiller un peu partout ; mais chaque chose en son temps, il faut avoir tout prévu et un jour …

« Au feu tout brûle, ne restera que des cendres ! »

Le rire sonne, résonne encore dans la nuit et il n'a pas finit de se faire entendre ...




CARACTÈRE

« Un homme de caractère n'a pas bon caractère. »
— Jules Renard.


© Tumblr

« Qui suis-je, qui suis-je ? Allez savoir, et vous qui êtes vous ? »

Jason est difficile à suivre, au moins autant qu'il lui est facile d'entrainer les gens dans sa ronde diabolique. Déstructuré, anarchique, machiavélique et débridé sont autant de termes qui lui collent aux talons telles d'inquiétantes ombres projetées le long d'un mur. Il n'a pas de pudeur, pas de limites sinon les siennes et croyez bien qu'elles se font rares voir inexistantes.
Son sourire écarlate vous fait froid dans le dos ? Vous avez raison dira-t-il dans une hilarité toute personnelle ; il aime la terreur qu'il suscite mais plus encore, il jouit du malheur des autres.
Sadique ? Un doux euphémisme pour cet homme singulier qui n'a de cesse de surprendre et ce plus souvent de la mauvaise manière. Oh oui il jubile, il s'esclaffe de vous voir ramper et vous mettra bien plus volontiers le pied sur la tête tant que cela fait son plaisir. Égoïste, certainement car en somme, ce qui l'intéresse c'est de voir le monde aller dans son sens et ce n'est pas toujours le cas … Mais pensez vous, le dangereux clown qu'il est ne s'embarrasse ni ne se chagrine pour si peu ; il a mieux à faire comme commanditer quelques « basses » actions dans les « bas » fonds du quartier Sud. C'est bas tout ça, très bas et alors ? Ça va ensemble non ?
La logique, elle existe pour J a condition qu'il l'aie établi, qu'il ait trafiqué les règles au marqueur rouge comme un enfant changerait la fin d'un conte ne lui ayant pas plut. Il est ainsi, exigent et obstiné si bien qu'il s'acharne et rend chaque geste démesuré. Son allure parle pour lui, extravagante et dénuée de retenue aussi mince soit-elle si bien qu'il semble aujourd'hui incapable de relativiser. Pourquoi diable le ferait-il d'ailleurs ? Il les regarde les petits pions du monde, les petits bonhommes qui grouillent autour de lui comme quelques fourmis sous ses griffes de fauve et qu'il les trouve insignifiants, pathétiques engoncés dans leur sordide quotidien tandis que lui … lui il sourit, il rit, il s'amuse. A vos dépends bien sûr mais c'est un tout petit détail !    

« Mais pourquoi serais-je le seul à m'amuser ? »

Que vous le vouliez ou non Jason vous embarque, il sait y faire et sa frénésie a ce quelque chose de contagieux. S'il est fou ? Oh mais oui, si vous le dites ! Les fous et eux seulement ont les deux yeux bien ouverts sur ce qui les entoure après tout … Il trouvera toujours un moyen de faire à son idée quitte à s'y reprendre à dix fois, tant que ce fonctionne les détours sont bien peu de choses à ses yeux. Mais il le dira lui même, il n'a pas forcément la patience d'une dentelière ; si sa proie lui échappe dans quelques sentiers boisés au final, lui brulera la forêt entière ; simple et efficace.    
Il peut bien choquer, provoquer la haine et tout ce qui va avec rien ne le touche. Son coeur est dur, il ne voit que son propre bien à approcher les gens et n'est désintéressé de rien. Non Jason n'aime pas, il ne sait pas ce que ce mot signifie ; seulement quelques lettres flanquées dans un dictionnaire pour les romantiques en mal d'un sens à leur existence non franchement … ce serait perdre du temps alors que le monde … le monde est amusant quand on se joue d'autrui.

« Je suis un homme aux gouts vraiment très simples ! »

Pour sûr, il n'est pas cupide. L'argent n'a pas d'odeur pour Jason pas plus que les femmes quand bien même elles se parfument au Chanel. Il préfère encore l'effluve de l'essence, du béton, du chaos … Car oui il aime ça le chaos ! Les rues hurlantes, les passants inquiets, les sirènes de polices, les bagarres, le son d'une explosion ; voilà ses délires, ses moments de plénitudes. Est-il si dérangé qu'il ne sait plus trouver de bonheur dans autre chose que la noirceur ? A moins qu'il ait fait le tour de tout ce qui vivait en lumière, de la droiture et des bonnes moeurs ? Possible ; il n'en dira rien, parler de lui le fatigue. Sa vie, son passé, ce qui le concerne en somme, il n'en dit rien ou pas grand chose et s'il le fait on sait bien qu'il a mentit sur les trois quarts. Secret alors ? Possible, à moins qu'il n'aime pas se souvenir de cet épisode de son existence. Si on l'écoute, Jason semble avoir vécu seulement ces dix dernières années. L'avant, personne ne le connait et lui le premier, n'a plus l'air d'être certain de ce qu'il a vécu …

« Sourions sourions ! Moi je ris bien en permanence ! »    

Oh pour ça il rit, à longueur de journée pour un oui ou un non, un détail ou une énormité. Jason a glacé le sang dans les veines à partir dans ses hilarités malsaines. La joie délirante ; seule émotion réelle qui le caractérise, plus évidente encore avec ce sourire rouge qui lui fissure les joues.
Si vous ne l'entendez pas, ne posez pas de question c'est encore ça le plus sécurisant. J s'isole parfois, c'est rare mais ça arrive. Alors il prépare quelques bombes, quelques plans pas catholiques, des petites horreurs dont il a le secret et le déranger serait tout bonnement suicidaire. Car l'homme est impulsif, violent, tricheur sous son costume trois pièces sur mesure. Il n'a jamais appris à se battre mais il sait le faire, il frappe, à sa manière sans leçon pour base et c'est déstabilisant. Jason aura toujours une carte dans sa manche, une astuce qui le sortira du plus mauvais pas et s'il est encore en vie aujourd'hui c'est bien parce qu'il n'est pas bête ; loin de là. On peut bien le considérer comme un pauvre clown dérangé, il en est loin. C'est un autodidacte particulièrement rusé fait à la force des choses, que la rue a forgé de la pire manière et cette rue, il a finit par en faire son terrain de jeu. La douleur, la peur, il ne connait pas et à le voir on se dit qu'il ne les a jamais connu. Il a tué plus d'une fois, sans remords ni cauchemars pour venir le hanter par la suite. Quoi qu'il fasse, même le pire du pire qu'importe … il sourira toujours.

« Moi moi et encore moi ! Toi ? Bah fais comme moi, essaie de survivre ! »

Il pourrait sauver du monde avec sa notoriété, parce qu'il est assez implanté dans le quartier Sud pour assurer ses arrières sans compter que ses rapports avec la Reine de coeur -comme il l'appelle- ne sont pas forcément mauvais. Mais pourquoi vous tendrait-il la main ? Vous voir agoniser lui plait bien d'avantage ! N'a-t-il pas d'amis ? Aucune personne qui partage sa folie ? Et bien non ; ou alors on ne lui en connait pas. Certains le suivent mais c'est leur choix et ils savent que Jason ne les aidera pas si le vent tourne. Pour ses propres intérêts il vous sacrifierait sans mal, il vendra votre peau pour sauver la sienne. Il ne se sent pas lâche, juste lucide parce qu'en fait tout le monde est pareil ! Les grandes idées de population soudée et prête à tout pour son prochain le font d'autant plus rire car à cette époque il faudrait être cinglé pour croire que X protégera réellement Y. Jason ne croit en personne hormis lui et il n'en est que plus dangereux. Un homme qui n'a rien à perdre a trop peu de limites, lui n'en a plus. Il survit, trace sa route en rouge à travers tout et attend son heure ; pas sagement du tout.  

Tout le monde le sait, Jason n'est pas fréquentable. C'est une bombe à retardement, un mauvais cadeau qui vous explose au visage en vous arrachant les mains au passage. Soyons honnête, il en faut pour oser se trouver dans la même pièce que lui. A moins d'avoir quelques neurones défaillants on vous le déconseille mais en contrepartie, si vous arrivez à susciter un petit déclic dans son cerveau il ne vous fera pas grand mal. Au pire ce théâtrale balafré vous fera tourner en bourrique, il vous caressera la tête comme à un enfant, vous fera rire comme lui sait si bien le faire et même il vous fera partager son quotidien. Mais n'attendez pas grand chose d'autre ; s'il vous laisse allez venir chez lui sans restriction autant que vous dansiez sur ses pas car dans le cas échéant vous ne vivrez pas vieux. Pour lui survivre, il faut être au moins aussi dénué de délicatesse que lui et ne pas hésiter sur le pour ou le contre d'une décision. Il n'a pas l'air méchant de prime abord mais soyez assuré qu'il l'est au fond ; Jason préfère encore la compagnie d'un molosse enragé à la votre, d'un charognard. Il lit dans vos yeux comme dans un livre et joue des petites comme des grandes lignes qui vous constitue. Il a apprit, instinctif comme une bête sauvage. Des faiblesses, on ne lui en connait pas parce qu'il en a fait une force, il a rebondit et rebondit encore. Beaucoup le diront détestable et immonde, mais de tous, il ne mentira pas lorsqu'il vous parlera de son point de vue. Mentir sur lui oui, quand il magouille aussi mais pour le reste ses discours sont limpides. Il « voit » le monde, l'a décortiqué et disséqué si bien qu'à ce jour, on est en droit de penser qu'il n'attend plus qu'une chose : le voir brûler.

Alors … vous voulez tenter le coup ?  





YOU & YOURSELF
Mais qui donc se cache sous le masque ?



Ton p'tit nom/pseudo : Sadistic-Snake
Ton âge : 25 ans
Un ou plusieurs comptes sur le forum ? Un seul ~
Comment as-tu connu le forum ? Une reine m'a invité ~
Et comment tu le trouves ? Bien bien **
Quelque chose à ajouter ? « Why so serious ? » : )

Merci à toi, nous te souhaitons la bienvenue sur Weins ~ Le staff reste à ta disposition si tu rencontres le moindre problème. Souviens toi, tu disposes d'une semaine pour remplir ton dossier ; s'il te faut plus de temps n'oublie pas de le signaler. A très bientôt ♫





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