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Nous allons vous raconter une petite histoire...
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MessageSujet: Nous allons vous raconter une petite histoire... Nous allons vous raconter une petite histoire... Icon_minitime1Sam 8 Juin - 16:40


ADAM WILLIAM GREGSON

« Parfois, je me dis que l'amour est étrange. Puis j'ai eu envie d'un sandwich. »
▬ Patrick Jane, Mentalist



identité

NOM : Gregson
PRÉNOM(S) : Adam William
DATE DE NAISSANCE : 12 janvier 2074
À : Las Vegas
ÂGE : 25 ans
NATIONALITÉ : Américaine
ANNÉE D’ÉTUDE : Etudes terminées
SIGNE PARTICULIER : //

► Personnage inventé
► Célébrité choisie : Ian Harding
► Groupe et Club : Citoyens. Inscrit dans aucun club

Crédits : © White Rabbit (icons) || © Rose (avatar)



HISTOIRE

« ll y a deux histoires : l'histoire officielle, menteuse, puis l'histoire secrète,
où sont les véritables causes des événements. »

— Balzac.


Il en est de ces livres qu'on ne cesse pas de lire, de relire, jusqu'à la lassitude. Il en est de ces livres qui resplendissent sur une étagère, qui ne prennent pas un seul gramme de poussière. Des livres aux pages écornés, témoignages d'une certaine activité de la part des Autres. Des passages soulignés au crayon à papier, des annotations dans les marges, des mots surlignés. Des pages se désolidarisant de ses congénères. Certains livres ont un intérêt certain pour les lecteurs, autant qu'on se le dise. Un livre nous permet de voyager, de s'évader, de s'accrocher à la moindre parcelle de sentiments que nous pouvons ressentir. Certains de ces livres méritent leur appellation de best seller. Tandis que d'autres sont de véritables navets, narrant plus ou moins la même histoire, avec un style frisant le ridicule. Parfois, les tournures peuvent être sympathiques, mais quelque chose fait que l'on n'accroche pas à cette œuvre. Pourtant, chaque livre est une partie de la vie de l'écrivain.
Il y a, en ce bas monde, un seul livre auquel chaque être humain participe, en tout état de conscience ou non. Un livre aux pages noircies par des vies entières dévouées à une tâche précise, à un objectif précis, à quelque chose. Certains hommes se sont battus sans vergogne pour pérenniser la sécurité de leur pays. D'autres se battent avec véhémence contre une maladie, contre le malheur qui les frappent soudainement. Parfois, les humains désirent garder le bonheur proche d'eux et s'évertuent à tout mettre en œuvre pour ne point voir leur réputation entachée, pour promettre à leur descendance un avenir radieux, là où tout commence à devenir ruines et cendres. Mais il y a des hommes qui ignorent tout de leur passé. D'où viennent-ils ? Qui sont-ils ? Où doivent-ils aller ? Ils ne le savent guère, mais Nous, en ces Hauts Lieux, nous savons. Malheureusement, Nous ne pouvons interférer avec la Destinée. Nous créons le Monde, mais Nous ne créons pas la Destinée. Ça, c'est une autre Instance qui s'en occupe. Nous ne pouvons pas tout gérer. Il arrive pourtant que certains de ces personnes ignorent une partie de leur vie qu'ils retrouvent plus tard, parfois trop tard.
Nous allons vous raconter l'histoire d'un homme parmi tant d'autres. Un homme qui aurait très bien pu ne pas être là, mais comme la Destinée en a décidé autrement... La Destinée vous modèle contre votre gré. En fait, vous n'y pouvez rien. Vous ne pouvez pas outrepasser ça. La Destinée dicte chacun de vos actes. Cet homme a vécu bien des déconvenues. Les premières heures, les premiers jours de sa vie furent ponctués de quelques tragiques malheurs. Oui, la Destinée craint parfois, et Nous aussi, ça nous embête de devoir transcrire ça dans ce grand livre appelé la Vie. Nous n'avons guère le choix. Nous vous conseillons de vous installer confortablement et d'avoir quelques provisions à vos côtés. Nous ne pouvons vous promettre des séquelles suite à la lecture de l'histoire que Nous allons vous narrer.

12 janvier 2074. Retenez bien cette date. Car c'est ce jour là que naquit notre héros, Adam. A l'origine, il n'était pas censé vivre. Son existence aurait dû se réduire à quelques mois, trois tout au  plus. Il rentra chez lui, quelques jours après sa venue au monde. Les mois passèrent, semblables les uns aux autres. Mais au mois d'août, l'enfant contracta un virus qui le démolissait petit à petit de l'intérieur. Un microbe s'était logé quelque part en lui et prenait un malin plaisir à ravager tout son petit être. L'enfant s'était en premier lieu accroché à la vie, mais ce microbe était bien trop fort pour lui. Petit à petit, il lâchait prise et se sentait prêt à partir. Pourtant, la détermination de ses parents alla à l'encontre de cette volonté de quitter la planète. A eux deux, ils remuèrent ciel et terre pour offrir à leur fils sa chance de vivre. Alors, les médecins, les infirmières, les chirurgiens se sont démenés pour que le nourrisson devienne un jour un adulte aguerri. Fort heureusement, tout a pu être soigné. Adam, au lieu de passer quelques jours au service pédiatrique, y passa deux mois, dont un et demi rien qu'en couveuse. Ses parents avaient trouvé que cette guérison était beaucoup trop lente, mais ils ne pouvaient rien faire contre ça. La Destinée avait choisi de ne pas précipiter les choses. Aussi, ils passèrent Noël avec leur fils désormais guéri à l'hôpital.
Mais ils étaient loin de se douter que ce Noël serait leur dernier. Un homme entra dans l'hôpital et décida de fêter ce jour sacré à sa manière : armé d'une kalachnikov, il devait penser que les bruits de ses balles ressemblaient étrangement aux tintements des cloches d'églises, que ces mêmes balles qui se perdaient dans le décor et entraient en contact avec des objets et des personnes étaient de doux cadeaux et qu'il serait dommage de ne pas en profiter. Oui, il devait sûrement penser ça. Lorsque les policiers réussirent enfin à le coffrer, l'homme avait laissé dans son sillage une quarantaine de douilles et une dizaine de corps sans vie. Parmi eux, le père d'Adam. Sa mère, tenant Adam dans ses bras et le protégeant encore de son corps du mieux qu'elle le pouvait, avait été touchée dans le dos. Écroulée par terre, elle portait encore son fils lorsqu'elle rendit son dernier souffle.
Le bébé qu'il était alors se retrouva soudain dans un univers qui semblait le dépasser. Il aurait pu accéder à une certaine forme de bonheur, accéder à une modernité sûre et certaine, mais il en fut autrement. Ceux qui l'ont élevé, qui l'ont éduqué, qui ont fait de lui un jeune homme respectable et respecté, ce sont ses grand-parents maternels. Ils aspiraient à vivre paisiblement leur retraite dans leur maison de campagne, au bord d'un lac. On aurait pu croire que l'arrivée soudaine d'une nouvelle personne dans leur vie, qui plus est, un enfant quasiment âgé de un an, bouleverserait totalement leur existence et qu'ils en deviendraient acariâtres. Pourtant, il n'en fut rien. Au contraire, leur mode de vie n'en a guère été totalement modifié. Certes, ils devaient prendre en compte les besoins de l'enfant, lui garantir la sécurité affective, morale et physique dont Adam pouvait avoir besoin. Mais le petit enfant qu'il était alors n'aurait pas pu espérer une vie meilleure que celle que ses grand-parents s'évertuaient à lui prodiguer.
Jamais l'enfant n'eut à connaître la vie étouffante en ville, jamais il n'avait ressenti le besoin d'arpenter ces rues noircies par une population en effervescence, paumée entre des grattes-ciel toujours plus hauts, toujours plus imposants. Son enfance a toujours été bercée par la douceur de sa grand-mère. Il partageait avec elle des moments d'intense complicité, des fous rires partagés, penchés au dessus des plans de travail, s'aspergeant de temps à autre de farine. C'est elle qui lui a donné le goût de la lecture, des balades autour du lac, accompagné de Tobby, le Saint-Bernard. Sasha, sa grand-mère, adorait son petit-fils, comme si c'était son propre fils. Cela ne faisait aucun doute, ce petit bout d'homme était tombé à point nommé pour elle.
Quant à Nelson, le grand-père, c'était une tout autre histoire. Il observait, de loin dans son fauteuil en cuir élimé, près de la cheminée, les échanges entre sa femme et son petit-fils. Lorsqu'il les entendait rire, il grommelait dans sa barbe, prétextant que ces ricanements, que cette effusion de joie n'étaient pas pour lui, n'étaient plus de son âge. Pourtant, il rêvait secrètement pouvoir partager ces mêmes moments avec son petit-fils. Le problème de Nelson était qu'il avait toujours eu du mal à exprimer ses sentiments, à les montrer aussi. Quand il aimait quelqu'un, il le disait de façon bourrue, un peu trop peut-être. Il devait s'avouer que voir sa femme heureuse depuis bien des années, ça lui faisait plaisir. Alors, il se taisait et il se contentait d'évoluer dans son monde. De temps à autre, il requérait l'aide d'Adam, pour bricoler quelque chose ou l'apprendre à pêcher. Ces quelques rares instants de complicité lui avaient plu, mais en même temps, ils l'avaient blessé. Ils lui rappelèrent sa fille, disparue trop soudainement. Et dans sa tête, une confusion des plus totales. Nelson était perdu, cela ne faisait aucun doute.
Mais c'est surtout grâce à sa grand-mère qu'Adam aspirait à aider les autres, comme elle le faisait avec les gens qui lui demandaient un service. Il admirait sa grand-mère pour ce qu'elle était, pour son esprit ouvert et débordant d'imagination, pour sa douceur incomparable intimement lié à une autorité certaine. Comme un syndrome de Stockholm. Sauf qu'il ne s'était jamais senti emprisonné, violenté d'une quelconque manière. Oh, comme tous les enfants, il s'est pris des fessées et quelques sacrées raclées, mais pas au point d'en avoir des ecchymoses sur le visage, les bras, le dos. Le temps passé avec cette femme qui décrépissait à vue d'oeil avait rendu le gamin sûr d'une chose. Plus tard, quand il sera grand, il voudra faire plaisir aux gens, leur faire se souvenir des moments heureux, des moindres saveurs que la vie peut avoir, les faire se délecter des plus infimes parcelles de bonheur.
A l'école du village, Adam se révéla être plutôt bon élève. Enfant discipliné, ses professeurs ne trouvaient rien à redire. Son comportement aurait pu paraître exemplaire mais comme tout petit garçon de son âge, il lui arrivait souvent de faire des écarts pour être avec ses quelques copains, pour ne pas sortir du lot. Mais deux fois par an, et chaque année, il se sentait mis à l'écart. Lorsqu'il s'agissait de faire les cadeaux de la fête des mères et de la fête des pères. Que pouvait-il bien faire ? Ses professeurs l'avaient forcé à le faire, mais le gamin s'était entêté et se barricadait toujours derrière une muraille de mutisme et d'isolation soudaine et profonde. D'ailleurs, qu'étaient-ils devenus ? Où étaient ses parents ? Adam ne le savait pas, et sa grand-mère ne le lui a jamais vraiment dit. Évasive, elle évoquait souvent un long voyage, qui ne semblait jamais prendre fin. L'enfant en avait marre d'attendre des réponses qui jamais ne venaient. Alors, il se tournait vers son grand-père, mais lui aussi restait muet. Quand il s'adressait à son petit-fils, c'était pour lui dire « Je suis fier de toi. » ou « Passe-moi le sel, veux-tu ? ». Le soir, il rentrait chez ses grand-parents, de bonnes notes en poche et avec l'envie de repartir en cours le lendemain. Il aimait l'école, cela ne faisait aucun doute. A onze ans, il entra au collège. Dès lors, il se distingua des autres en arts plastiques, en sport et en sciences. Il brillait dans ces domaines. Mais en ce qui concernait le reste... C'était une tout autre histoire. Contrairement à ce que Nelson avait présagé, Adam avait très bien réussi son collège et entra donc au lycée à quinze ans.
C'est au lycée que tout changea. Période charnière d'une vie, le lycée forge les caractères, les modèlent. Certaines personnes restent comme elles étaient en y entrant, d'autres changent du tout au tout. Ainsi, il n'est pas rare de voir l'agneau devenir loup. Adam faisait parti de ces gens dont le caractère chavira en quelques instants. Élève discipliné et modèle, il s'écarta pourtant du sentier qui s'était tracé et que ses grand-parents avaient pris soin d'entretenir. Ses notes autrefois excellentes, chutèrent fortement et avoisinèrent le zéro. Ses professeurs qui n'hésitaient pas à le soutenir n'hésitèrent plus à lui faire des reproches. Ses amis commencèrent à le laisser seul, et le jeune homme ne s'en plaignait pas. D'ailleurs, quand on le lui faisait remarquer, il n'hésitait pas à se braquer et à envoyer bouler le monde. Personne ne savait ce qui se tramait dans sa tête. Vraiment personne. Hormis ses grand-parents qui avaient décidé qu'il était maintenant temps que l'adolescent qu'il était alors sache où étaient ses parents. Ils pensaient qu'il était assez fort, alors qu'en réalité, Adam était brisé de l'intérieur. Il se sentait trahi, bafoué, sali, comme si cette vérité aurait dû se savoir depuis longtemps. Il en voulait à ses aïeux de lui avoir caché ça si longtemps. Petit à petit, il les laissait de côté et préféra faire des activités sans eux, se consacrer à autre chose qui ne les impliquait pas. Moins il les fréquentait, plus il était content.
Une lettre, juste une lettre, posée sur la table de la cuisine. Elle trônait là depuis des heures, peut-être trop longtemps. Sasha et Nelson n'en surent rien. Ils eurent juste la surprise de voir la maison vide, débarrassée de toutes les affaires d'Adam, débarrassée de la présence du jeune homme qu'il était devenu. Il avait profité de la sortie hebdomadaire de ses grand-parents au supermarché de la ville d'à-côté pour se carapater en toute tranquillité. Sasha, effondrée sur la table, ne put s'empêcher de lire, relire et re-relire la lettre.
Sasha, Nelson,
Lorsque vous rentrerez, je ne serais plus là. Ne vous inquiétez pas, je n'ai pas attenté à ma vie. Je vais parfaitement bien. J'ai juste décidé qu'il était temps pour moi de prendre mon envol et de quitter cette vie qui me retenait prisonnier de mensonges, de faux-semblants et de non dits. Plutôt que de vivre en me voilant la face, je vous laisse pleinement profiter de la retraite que vous n'avez jamais eu à cause de moi. Pardonnez-moi ma lâcheté, mais je n'ai pas eu d'autres choix. En parler avec vous m'aurait conforté dans mes désirs de partir.
Il me faudra du temps pour vous pardonner toutes ces choses. Vous auriez pu penser qu'avec le temps, ma colère serait apaisée, que j'aurais décidé de passer l'éponge sur votre traîtrise, mais le fait est que cela m'est pour le moment impossible. J'ai besoin de recul pour penser, de temps pour que tout revienne à la normale dans ma tête. Voyez-vous, mes pensées se bousculent, s'entrechoquent, et ça me fait mal.
Ne cherchez pas à me faire revenir. Ne cherchez même pas à me contacter, je ne serais pas là. J'ai besoin de me couper de vous, de ce monde dans lequel j'ai grandi. Attendez que je revienne. Je saurais quand ça sera le bon moment pour moi de renouer les liens défaits.
J'avais des images préconçues de vous, des images que j'avais idéalisées dans mon enfance. Nelson, tu étais le grand-père rabougri, qu'il ne fallait pas déranger, un homme peu enclin aux démonstrations d'amour. J'en ai souffert. Au moment où j'avais besoin de parler à un homme, je n'avais aucune épaule sur laquelle m'épancher. Ça m'a fait mal. Où étais-tu pendant tout ce temps ? Où étais-tu ? Quant à toi, Sasha, tu étais une personne présente quand il le fallait. J'ai aimé des moments de complicités que l'on partageait autrefois, ces confidences faites entre deux larmes, ces instants de réconfort quand tout allait de travers. Je ne peux que te remercier pour tout ce que tu as fait pour moi. Tu vas énormément me manquer. Mais m'éloigner de vous est nécessaire, je le crains.
Prenez soin de vous,
Adam

UNDER CONSTRUCTION.




CARACTÈRE

« Un homme de caractère n'a pas bon caractère. »
— Jules Renard.


TEXTE (en vingt lignes minimum)





YOU & YOURSELF
Mais qui donc se cache sous le masque ?



Ton p'tit nom/pseudo : Adélaïde / Alinoé
Ton âge : 21 ans
Un ou plusieurs comptes sur le forum ? Désormais un seul
Comment as-tu connu le forum ? Ex co-fondatrice
Et comment tu le trouves ? :)
Quelque chose à ajouter ? Je me suis permise de vieillir Ian Harding. J'ai jugé qu'il faisait trop vieux pour 21 ans :)

Merci à toi, nous te souhaitons la bienvenue sur Weins ~ Le staff reste à ta disposition si tu rencontres le moindre problème. Souviens toi, tu disposes d'une semaine pour remplir ton dossier ; s'il te faut plus de temps n'oublie pas de le signaler. A très bientôt ♫




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MessageSujet: Re: Nous allons vous raconter une petite histoire... Nous allons vous raconter une petite histoire... Icon_minitime1Dim 9 Juin - 10:58

ADAAAAM L
Evangeline saute sur Adam

Hâte que tu finisse ta fiche Panpan!

Calypso
Calypso R. Storm
Calypso R. Storm
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AVATAR : Lindsay Ellingson

ANNÉE D'ÉTUDE : 5ème année

DISPONIBILITÉ RP :
  • Disponible


COMMENTAIRES : Sachez mes chers que vous vous trouvez face à la Reine de l'Académie. Reine que vous devrez acclamer, admirer parce que j'ai été élue par tout le monde comme étant la plus belle de cette fichue Académie. Mais ne vous réjouissez pas : beauté ne veut pas dire stupidité...
Ça fait six ans que je suis réélue, et je compte bien continuer jusqu'à mon départ.
Je suis également la Dirigeante en chef du Quartier Nord et je peux vous faire décapiter d'un simple claquement de doigt. Je suis également une prostituée de luxe et mes clients me sont entièrement dévoués alors dis un seul truc de travers sur moi et j't'envois en prison jusqu'à la fin de ta vie !

Allez sans rancune : je suis magnifique et intelligente, t'es rien face à moi !


CRÉDITS : Shiya

MESSAGES : 1923

Date d'inscription : 05/05/2011

CASIER JUDICIAIRE
ÂGE: 22 ans
CAMP: Sans idées fixes
JE SUIS: un incertain, je peux basculer d'un côté comme de l'autre


MessageSujet: Re: Nous allons vous raconter une petite histoire... Nous allons vous raconter une petite histoire... Icon_minitime1Dim 9 Juin - 15:59

Re-Bienvenuuuuuuuuuuuuue ! hug

Bon courage pour ta fiche ! Pour l'âge y a pas de soucis, c'est plus cohérent effectivement ! xD

https://projet-weins.forumgratuit.org
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MessageSujet: Re: Nous allons vous raconter une petite histoire... Nous allons vous raconter une petite histoire... Icon_minitime1Dim 9 Juin - 16:01

J'ai d'ailleurs fait quelques modifications dans l'histoire car je m'étais rendue compte, en relisant l'ancienne fiche, que ce n'était pas DU TOUT cohérent XD

Mais merci à vous les filles :)

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MessageSujet: Re: Nous allons vous raconter une petite histoire... Nous allons vous raconter une petite histoire... Icon_minitime1Dim 9 Juin - 19:14

Bon courage pour ta fiche! Ian Harding, quelque soit son age, est super sexy bave

Cheerleader
H. Allegra Lockhart
H. Allegra Lockhart
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AVATAR : Teresa Palmer

ANNÉE D'ÉTUDE : Troisième année

DC : Tess Sayers, Spencer J. Fitzpatrick, Zélis Jaeger-Hyde

DISPONIBILITÉ RP :
  • Indisponible


COMMENTAIRES : « Mirror, mirror on the wall, tell me, who has the sickest mind of them all? »

CRÉDITS : tearsflight (avatar) || alaska + tumblr (signature)

MESSAGES : 614

Date d'inscription : 10/04/2011

CASIER JUDICIAIRE
ÂGE: 22 ans
CAMP: Sans idées fixes
JE SUIS: un incertain, je peux basculer d'un côté comme de l'autre


MessageSujet: Re: Nous allons vous raconter une petite histoire... Nous allons vous raconter une petite histoire... Icon_minitime1Lun 10 Juin - 19:03

Panpan!

https://projet-weins.forumgratuit.org/
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MessageSujet: Re: Nous allons vous raconter une petite histoire... Nous allons vous raconter une petite histoire... Icon_minitime1Ven 21 Juin - 15:43

Je finirais ma fiche ce soir. Hormis l'histoire qui est aux trois-quart faites, le caractère se fera rapidement. :)


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MessageSujet: Re: Nous allons vous raconter une petite histoire... Nous allons vous raconter une petite histoire... Icon_minitime1



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